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Tout n'a pas toujours été très rose dans la vie de l'ancien tennisman Andre Agassi, loin de là. Le sérieux quotidien anglais Times, qui a pu se procurer des extraits de l'autobiographie du sportif, intitulée Open : An autobiography, à paraître le 9 novembre aux Etats-Unis, révèle qu'Andre Agassi y explique avoir eu recours, en 1997, à une drogue dure, le crystal meth (connu aussi sous le nom de méthamphétamine).C'est en détail que le tennisman, qui a pris sa retraite en août 2006, décrit la façon dont il a découvert cette drogue aux effets complètement euphorisants. C'est avec la complicité de son assistant, un certain "Slim", que le sportif atteint un état de jubilation à son domicile. 1997 avait été une période "sans" pour Andre puisqu'il avait dégringolé jusqu'à la 122 ème place mondiale. En plus de ses mauvaises performances sportives, l'ancien tennisman explique que des problèmes personnels l'ont également affecté. Il parle ici de sa relation de couple avec Brooke Shields.En 1997, Andre a été contrôlé positif a un test anti-dopage, mais l'Américain a réussi à éviter une suspension. "J'ai écris une lettre à l'ATP pour les informer que Slim était un consommateur régulier de drogues et qu'il mélangeait souvent la " meth " avec des sodas, ce qui était vrai. Mais j'ai ajouté que j'en avais bu un par accident." Une explication suffisante pour l'association des joueurs professionnels, qui décida de classer l'affaire !Malgré toutes ces révélations, Andre Agassi espère que cela n'affectera pas son image redorée grâce à sa relation glamour avec l'ancienne tenniswoman allemande Steffi Graff : "J'ai été inquiet pendant un moment, mais cela n'a pas duré... Je laisse transparaître mes sentiments et vous pouvez lire mes émotions sur mon visage. En fait, j'étais impatient de raconter cette histoire à tout le monde".