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Grand délire de grand garçon. Un panda bedonnant et gourmand rêve de devenir un as du Kung Fu. Après une suite de hasards heureux, il va devoir suivre les enseignements de Maître Shifu, une sorte de hamster. Outre l’histoire, sans surprise mais drôle, les réalisateurs John Stevenson et Mark Osborne ont réussi un impressionnant dessin animé d’action où des peluches toutes mimi s’envolent et voltigent d’un bout à l’autre des lieux. Le long-métrage, magnifique, réussit à restituer la célérité des combats et livre des scènes ahurissantes d’énergie. Avec l’humour de Jack Black en plus, cela devient assez savoureux.
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Si rien n'est très nouveau du côté du scénario, ce nouveau film de Dreamworks avait plusieurs défis à relever. En premier lieu, montrer que le studio a enfin réussi à rattraper le niveau de fluidité des mouvements de Pixar. Sur ce terrain, le kung-fu ne pardonne pas. Et c'est très réussi, comme le sont le rendu des textures et le soin apporté aux décors, véritable hommage aux couleurs saturées et à la Chine traditionnelle. Mais, quitte à être démonstratif et marquant, mieux vaut un bon kung-fu en live alliant l'humour et le spectaculaire, et cela sans la charge du conte initiatique, base de tous les dessins animés actuels.
Toutes les critiques de Kung Fu Panda
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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On apprécie les personnages délirants et attachants. Cependant, les aventures spectaculaires et les cascades à gogo prennent vite le pas sur une intrigue peu fouillée. Malgré tout, cela doit pouvoir ravir un public jeune.
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Il est gourmand (voire goinfre), il est grassouillet, il est empoté et vend des nouilles au restaurant de papa. Mais il est aussi fou de kung fu. Et il se voit en guerrier : autant dire qu’il rêve plus haut que son gros bidon ! Mais par le plus grand des hasards le voici élu « guerrier de l’année » et chargé de défendre la région contre Taï Lung, un guerrier renégat. Il commence l’entraînement avec des compagnons chevronnés, les fameux Cinq Cyclones (Tigresse, Grue, Mante, Vipère et Singe), sous les ordres de Maître Shifu. Et c’est d’abord sa gourmandise qui va l’aider, dans la scène très drôle et brillamment animée de son premier entraînement. Le reste est à l’avenant : la première séquence en 2D est sublime et le reste du film en 3D d’une grande qualité graphique. Le bestiaire réunit (presque) tous les animaux de la création, dont le père de Po qui s’avère être un canard et un maître kung fu très « Yoda ». Quant aux péripéties (l’évasion du méchant ou les combats), elles sont dignes d’un grand film d’aventures !
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Bardé d’humour, tonique et visuellement séduisant, ce Shaolin Panda à la bouille craquante a tout du divertissement familial ceinture noire.