Toutes les critiques de Le Secret de Kanwar

Les critiques de Première

  1. Première
    par Eric Vernay

    1947, en Inde. Au moment de la partition du pays, un père de famille sikh doit quitter son village. Le traumatisme de cet exil se double du désir inassouvi d’un héritier. Quand naît sa quatrième fille, il décide d’en faire un fils en la déguisant en garçon. Au questionnement sexuel et identitaire de l’héroïne répond un habile brouillage des genres cinématographiques : "Le Secret de Kanwar" est à la fois un mélo familial, un drame historique et un film de fantômes. Malgré un dernier mouvement fantastique poussif, le récit, élégant, est hanté par un beau trouble.

Les critiques de la Presse

  1. RTL
    par Stéphane Boudsocq

    Un très beau film totalement tragique sur l'identité et la complexité de la société indienne.

  2. Toutlecine.com
    par Fanny Bernardon

    Un film bouleversant, à l’esthétique sublime et pittoresque, doté d’une capacité touchante à parler de l’identité humaine. Ce drame venu des Indes est un voyage à ne pas manquer !

  3. L'Express
    par Christophe Carrière

    C'est visuellement magnifique. Et le film le serait tout autant si, après une première moitié captivante, le rythme ne pâtissait pas d'un sacré coup de frein à cause d'une certaine complaisance contemplative. Heureusement que l'intrigue est suffisamment tendue pour retenir l'attention.

  4. Le JDD
    par Danielle Attali

    La mise en scène élégante vibre de couleurs, de musiques et brasse des émotions intimes. Mais le passage au fantastique, pesant, était vraiment inutile.

  5. Le Monde
    par Noémie Luciani

    Mi-drame social au coeur de l'Inde des années 1950, mi-conte fantastique, "Le secret de Kanwar" se construit de manière un peu vacillante, mais dresse un tableau familial saisissant.

  6. Télérama
    par Blottière Mathilde

    Entre la saga familiale et la fable, le film, dérangeant, d'Anup Singh, aborde les questions du déracinement et de la condition féminine en Inde. En basculant dans le fantastique, hélas, il s'embourbe dans le symbolisme.