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Printemps 1914. L’impétueuse Vera Brittain veut s’inscrire à l’université d’Oxford et devenir une femme de lettres, mais son père s’y oppose. Seul un jeune homme, Roland Leighton (Kit Harington, alias Jon Snow dans "Game of Thrones"), la comprend. Ils tombent amoureux et se séduisent en vers et contre tous, dans une version lo-fi du "Bright Star" de Jane Campion. Quand la guerre éclate... D’un point de vue cinématographique, ce film est une aubaine, le personnage de Vera évoluant tout au long de l’histoire. D’abord insensible aux souffrances des autres, car obnubilée par ses tourments, elle change de regard au fil des années. La féministe s’affirme alors aussi pacifiste, et le portrait gagne en consistance.
Toutes les critiques de Mémoires de jeunesse
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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La première partie du film est aussi légère et précieuse que le fut la Belle Epoque (...) Le réalisateur, James Kent, négocie plutôt habilement le changement de ton et parvient à livrer une deuxième partie émouvante sans être mélo (...)
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Cette force d’évocation et d’émotion tient aussi à la minutie consciencieuse qui a présidé à l’élaboration du film.
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Cette force d’évocation et d’émotion tient aussi à la minutie consciencieuse qui a présidé à l’élaboration du film.
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Film délicat qui tranche en traitant avec finesse et élégance des événements dramatiques et des faits historiques, "Mémoires de jeunesse" se distingue d’un simple biopic avec un savoir-faire et une beauté de ton et d’image qui fait du bien.
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Film délicat qui tranche en traitant avec finesse et élégance des événements dramatiques et des faits historiques, "Mémoires de jeunesse" se distingue d’un simple biopic avec un savoir-faire et une beauté de ton et d’image qui fait du bien.
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(...) ce mélo historique, élégant et émouvant, offre un vrai souffle romanesque sans jamais sombrer dans la romance grâce à son héroïne attachante, sorte de Scarlett O’Hara qui résiste à tous les coups du sort.
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(...) ce mélo historique, élégant et émouvant, offre un vrai souffle romanesque sans jamais sombrer dans la romance grâce à son héroïne attachante, sorte de Scarlett O’Hara qui résiste à tous les coups du sort
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La première partie du film est aussi légère et précieuse que le fut la Belle Epoque (...) Le réalisateur, James Kent, négocie plutôt habilement le changement de ton et parvient à livrer une deuxième partie émouvante sans être mélo (...)
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Le résultat, à la fois plaisant et convenu, est un hommage à Vera Brittain : jeune femme exaltée, romantique mais, surtout, remontée contre une société qui l'assignait à un rôle de spectatrice.
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Le résultat, à la fois plaisant et convenu, est un hommage à Vera Brittain : jeune femme exaltée, romantique mais, surtout, remontée contre une société qui l'assignait à un rôle de spectatrice.