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La journaliste April O’Neil enquête sur le Clan Foot, une mafia qui veut régner sur le monde du crime new-yorkais. À cette occasion, elle découvre que quatre justiciers, des tortues mutantes humanoïdes,
sont déjà prêts à en découdre avec l’organisation. Des tortues ninja ? Même si vous n’êtes pas un enfant des 80s, le concept est tellement nanar et accrocheur que vous ne pourrez pas éviter d’y emmener votre progéniture. Au risque de froisser la poignée de puristes fans des héros vintage, le film n’est pas mauvais. Jonathan Liebesman est ici à son meilleur niveau, après le terrible "World Invasion – Battle
Los Angeles" et le déjà plus réussi "La Colère des Titans". Grâce à qui ? Au producteur Michael Bay évidemment. Car sous l'influence du réalisateur de "Transformers", le cinéaste déploie une belle énergie bordélique,
le tout relevé d’une bonne dose de cynisme. Certains choix sont discutables, comme celui de se concentrer sur l’histoire d’April, mais le fait est qu’il y a du cinéma dans "Ninja Turtles", et du bon. Notamment le temps d’une course-poursuite démente entre des camions le long d’une route enneigée, durant laquelle les notions de temps et d’espace sont soumises aux délires du scénario.
Toutes les critiques de Ninja Turtles
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Il y a suffisamment de pouvoir chez les tortues pour conquérir le cœur des enfants et des fans de la première heure.
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Free fight à gogo et pizzas, il y a du mega show dans l’air… Cowabunga !
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Le remake d'un absurde film culte des années quatre-vingt, débile, certes, mais enthousiasmant et plutôt sympathique à l'arrivée.
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Plus brutal et plus drôle que l’original des années 90 mais toujours aussi inoffensif.
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Bénéficiant d'un beau travail d'animation, d'un bon rythme et d'un certain sens de l'humour, ce énième retour sur les écrans des plus célèbres reptiles de la bande dessinée est plutôt une bonne surprise.
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Produit par Michael Bay, dont la finesse est proche de zéro, ce "Ninja Turtles" planque un vide scénaristique derrière sa carapace brillante de produit sans âme. On regrettera le choix de Megan Fox en April O'Neil, qui finit d'achever nos souvenirs d'enfance.
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Vaguement portées disparues, les fameuses tortues ninja reviennent sous la direction de Jonathan Liebesman, un spécialiste du cinéma d'action balourd. Avec lui, les toujours plaisants Michelangelo, Donatello, Leonardo et Raphael semblent très vite ne faire que de la figuration dans des cascades interchangeables, interminables...
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La répartie est faible, comme toujours. Même avec certains détails qui ont été peaufinés, ces 4 tortues ne sont pas crédibles.
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Comparé au film, le titre ne semble même plus ridicule, on devient habitué aux mots clefs.
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Aucun effort n’est fourni pour différencier la personnalité des tortues, elles semblent aussi grotesques qu’un dessin animé de Terry Gilliam.
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Un bazar incroyable, immature et flou, tout comme ces 4 tortues. Des trucs se passent, des trucs explosent, difficile de croire que c’est une production de Michael Bay.
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Le ton léger et humoristique est revu à la baisse à cause de références pop-culture peu créatives et stupides.
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Plus insistant que drôle mais les enfants ne s’en apercevront sûrement pas.
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Comparé au film, le titre ne semble même plus ridicule, on devient habitué aux mots clefs.
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Produit par Michael Bay, ce divertissement sert surtout de prétexte à mettre en valeur la plastique avantageuse de Megan Fox, en décalage permanent.