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Libido débridée, poésie absurde et métissage : voilà la sainte trinité de cette anthologie de trois courts métrages de Gabriel Abrantes. Chez ce jeune cinéaste marqué par Pasolini, on braque des
commerces pour se procurer du Viagra, les singes philosophent et les drones d’Obama font des crises d’adolescence. La frontière entre sublime (immeubles désossés en Angola) et trivial
(scatophilie) s’estompe dans un grand télescopage de références pop, de saillies satiricoburlesques et de mythes anciens revisités avec une liberté de ton souvent jubilatoire.
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Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Trois courts métrages composent ce programme panique et sensuel du jeune cinéaste américain inspiré et follement libre [...] A noter les performances étonnantes des trop rares Edith Scob et Laetitia Dosch.