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Les flash-backs sur l'enfance du père sont en animation. Une idée puissante qui adoucit la violence du propos.
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Pour raconter cet héritage de la brutalité, la réalisatrice retrace le passé avec des figurines qui donnent au récit, véridique, une dimension poétique (...) L'évocation de la relation entre le père et sa fille, joués par des comédiens, devient, par contraste, trop académique.
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Ce huis clos forestier, étouffant et taiseux, lourd d’une menace incestueuse latente, est un mélange de prises de vue réelles et d’animation en pâte à modeler (pour les souvenirs et fantasmes du personnage principal) qui confère à ce projet de portrait de jeune fille une certaine originalité.
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