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On résume le début de l’intrigue spoiler-free : Bruno doit partir en vacances avec sa fiancée (Maïwenn passée cachetonner discrètement) mais celle-ci se rend compte à l’aéroport que son passeport est périmé et largue sa moitié. "Sale pute", lâche Balasko en touriste spectatrice, plantant là son personnage de mégère vulgaire avide de rencontres. Très vite, Bruno est collé par un type étrange en parka, Jean-Paul Cisse (oui, c’est un jeu de mots sur le pape), qu’on incruste de force dans son bungalow nuptial. Le principe du duo mal assorti, ressort éternel de la comédie, est posé. Un soupçon d’Emmerdeur, un poil de Chèvre et même quelques piquets de Camping ne font rien à l’affaire. La mayonnaise ne prend pas. Le type envahissant qui pourrit la vie du type normal, on l’a déjà vu mille fois. Mille fois aussi, Franck Dubosc (ah oui, on a oublié de vous dire, Jean-Paul Cisse) s’est flagellé (oui, nous aussi on fait des métaphores chrétiennes) en séducteur loser. Il est co-auteur du scénario, ne l’oublions pas. Cette fois-ci, il se met vraiment à poil. Au sens propre. Il y avait le slip de Patrick Chirac dans Camping, il y a le no slip de Jean-Paul Cisse dans All Inclusive.