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L’idée lumineuse au centre de Dans le noir a tout du précis poétique de cinéma – sur le cinéma. Lorsque vous éteignez la lumière, quelque chose (quelqu’un) apparaît. Sous sa forme court métrage, réduite à sa plus simple et théorique expression, Lights Out (titre original) réussissait à foutre les jetons avec trois fois rien. Pour la version longue, David F. Sandberg transforme le tout en tragédie mortifère dans une maison et tente de faire passer le drame familial avant l’exercice de genre. Sa direction d’acteurs devient donc l’enjeu premier du film, plus que sa nature de réalisateur. Mais de Teresa Palmer à Maria Bello en passant par le gamin à la bouche en cul-de-poule, ils sont tous exécrables.
Christophe Narbonne
Toutes les critiques de Dans le noir
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Une jeune femme renoue avec son petit frère qui, comme elle, est gagné par la terreur du noir et du monstre qui s'y tapirait... Le film crée l'angoisse en plongeant dans les ressorts complexes d'une famille. Le « monstre » devient vite une métaphore autour d'une mère mélancolique. Il suscite l'intérêt comme l'effroi. — Pierre-Julien Marest
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Une jeune femme renoue avec son petit frère qui, comme elle, est gagné par la terreur du noir et du monstre qui s'y tapirait... Le film crée l'angoisse en plongeant dans les ressorts complexes d'une famille. Le « monstre » devient vite une métaphore autour d'une mère mélancolique. Il suscite l'intérêt comme l'effroi. — Pierre-Julien Marest
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Le film est plombé par un scénario malingre, des coupes criantes et un message inutile (tuer plutôt que soigner). De quoi faire peur en effet.