-
L’histoire vraie de Monica Zetterlund, chanteuse de jazz qui régna sur le paysage musical suédois durant les années 60. C’est avec une certaine modestie formelle que le réalisateur Per Fly narre la vie tumultueuse de cette star dont on se souviendra pour avoir été la première à interpréter des standards US en suédois. Débuts difficiles, rencontre déterminante, gloire soudaine, déchéance alcoolisée : en dépit du charme d’Edda Magnason, rien ne distingue Valse pour Monica du tout-venant en matière de biopic.
Toutes les critiques de Valse pour Monica
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
-
Et ce biopic à la facture classique avec reconstitution d’époque est absolument impeccable et efficace pour découvrir la trajectoire accidentée de cette légende scandinave.
-
On se laisse bercer par cette voix sensuelle et par l'étrangeté du jazz au pays des longs hivers. Mélancolie et swing : un duo parfaitement séduisant.
-
Per Fly signe un biopic classique sur une figure incontournable du jazz suédois incarnée par une actrice magnifique. Dommage que tout ceci frise trop souvent l’académisme.
-
Un biopic qui charmera aussi bien les connaisseurs de Monica Zetterlund comme les curieux qui découvriront la complexité d'une femme de talent, aussi bien dans l'icône que dans la comédienne l'incarnant.
-
"Valse pour Monica" édifie une histoire bien vivante, universelle sur le combat des femmes. La BO, dirigée par Peter Nordahl, mais surtout l'énergie et la forte présence d'Edda Magnason dans la peau d'une Monica incandescente, passionnée, et parfois perdue, y sont pour beaucoup.
-
Un biopic sans grande originalité, porté par la présence de son héroïne.
-
Très connue dans les pays scandinaves, Monica Zetterlund l'est également à l'international dans les milieux du jazz pour être parvenue à adapter à la langue suédoise des standards, et avoir enregistré un album avec le pianiste Bill Evans en 1964. Icône suédoise de la chanson, elle fut aussi actrice. Le Danois Per Fly lui redonne vie dans un biopic droit dans ses bottes, mais touchant.
-
Autant dire que ce biopic scrupuleux, classique, mais exécuté avec un savoir-faire générique, aura du mal à passionner chez nous un large public, en dépit de la présence lumineuse d'Edda Magnason dans le rôle-titre.
-
La jeune chanteuse Edda Magnason est convaincante sous les traits de la pionnière du jazz suédois.
-
Sans la Suède et le jazz, cette Monica ressemblerait à presque toutes les écorchées de la musique ou du cinéma : une Edith Piaf blonde. Avec la Suède et le jazz, surtout avec le talent de la belle Edda Magnason, chanteuse suédoise dont on peine à croire que Valse avec Monica puisse être son premier rôle au cinéma, le personnage gagne et garde jusqu'au bout un peu d'âme : moins, cependant, que ce à quoi il aurait pu prétendre.
-
Comme les Français ont eu "La Môme" pour saluer Piaf, les Suédois ont cette "Valse pour Monica" (Zetterlund), leur gloire nationale, à la fois chanteuse populaire et grande voix du jazz. Son talent et sa vie sont mal servis par ce film rétro et très « pro », à l'américaine, joli et sans âme.
-
Malgré une réalisation soignée et une interprétation convaincante, une évocation poussive de la chanteuse suédoise Monica Zetterlund, personnage haut en couleurs.