Babysitting 2-
Un an et demi, c’est le temps qu’il a fallu à Philippe Lacheau et consorts pour donner une suite à Babysitting, le carton surprise de 2014. Le principe de ce deuxième volet est identique au premier : après que la bande de losers a disparu dans la forêt amazonienne (avec la grand-mère de la jolie Sonia), ceux qui restent trouvent une caméra grâce à laquelle ils vont découvrir ce qui s’est réellement passé. Même high concept, mêmes qualités et défauts : les scènes avec les témoins – compilations de "ah", "oh", "c’est pas vrai !" – sont moins percutantes que celles avec les acteurs de cette aventure rocambolesque, filmée avec énergie en DV et drôlement dialoguée.
Toutes les critiques de Babysitting 2
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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On rigole encore et on s'enthousiasme parfois, malgré une écriture bien trop légère et un ensemble trop gentil pour son propre bien.
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Truffé de clins d'oeil (The Descent, 127 Heures, A la poursuite du diamant vert) et d'images spectaculaires (un saut en parachute en caméra subjective et sans montage, ça décoiffe), le film distille un humour écolo, bienveillant et rafraîchissant.
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Recycler, sans même plus faire le moindre effort d’incarnation – on ne croit pas une seconde à ce groupe de copains ni à leurs chamailleries totalement empruntées.
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Very Bad Trip à la française qui joue la carte du genre du found-footage, Babysitting 2 retient aussi de son aîné américain le procédé de l’exportation du récit dans un lieu paradisiaque pour renouveler ses gags.
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Gags hénaurmes, jolies filles et Christian Clavier (dans le rôle du vieux de service) devraient faire le job pour les nombreux fans.
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Potache, chevaleresque et tendre, cette suite à Babysitting carbure dans l’humour déjanté et ne tombe jamais en rade. Un miracle qui devrait porter le divertissement très haut au box-office cet hiver, en contre-programmation de Star Wars, par exemple
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(...) une comédie, certes potache, mais manquant cruellement d'originalité, surfant sur des blagues d'une prévisibilité absolue.
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(...) ce film atteste d’un nouveau stade de dégénérescence atteint par la comédie française sous l’influence d’émissions de télé où le rire forcé et le parler fort donnent sa forme à un vide sidéral.
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Situations aussi répétitives qu'immatures, dialogues balourds (parfois limites), interprétation à l'avenant : il est grand temps que cette saga s'arrête !
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(...) dans la précipitation 100% mercantilisée, l’histoire a été littéralement sacrifiée sur l’autel du gag (raté) à tout prix.
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Au delà de ses lourdeurs idéologiques, les cabotineries dans lesquelles les comédiens deBabysitting 2 s’accordent à placer la plus sincère énergie parviennent régulièrement à amuser le spectateur.
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Cette fois, l’équipe part au Brésil en vacances. Et normal, tout se détraque. A l’instar du scénario et de la réalisation qui laissent voir leurs énormes ficelles.
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Une fois, ça va. Deux fois, ce n'est plus possible. Les gags sont lourds.
