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Forcément, dans le genre comédie de fi les qui tache, on pense à Mes meilleures amies, mais avec une grosse gueule de bois en plus. Cette fois, la robe de mariée n’est plus maculée d’excréments mais essuie tous les fluides possibles du corps humain. Alors oui, Bachelorette est la petite-cousine dévergondée qui voudrait faire pire que la grande, et la fin est précipitée, mais le film va plus loin. Hommage pas toujours drôle à la solidarité féminine et à toutes celles qui ont un jour tenu les cheveux d’une copine penchée au-dessus d’une cuvette, Bachelorette parle de garces qui, avant de casser les autres, se démolissent d’abord elles-mêmes. Et que dire de la joie de voir Kirsten Dunst, surnommée « face de pute », chier dans le tulle après Melancholia ?
Toutes les critiques de Bachelorette
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Avec ces quatre "bimbos" hystériques et paumées, le film de Lesly Headland parvient sans doute possible à une vérité humaine plus haute. Celle qui fait éclater de rire.
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L'intrigue n'est pas neuve, mais l'énergie du récit, l'âcreté des dialogues et le talent des comédiennes font mouche.
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Je pense que les femmes qui ont trouvé ce film sinistre sont celles, qui au fond d’elles, sont gênées d’admettre qu’il peut refléter la réalité. On a simplement pas l’habitude de voir ça au cinéma.
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Girls power. Si la référence à Mes meilleures amies se fait presque naturellement, ce n’est jamais vraiment au désavantage de Bachelorette. Notamment grâce à ces comédiennes de feu (Lizzy Caplan en tête).
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Bref, de quoi donner une veille de mariage mouvementée à faire passer « Very bad trip » pour une soirée tisane, et de faire de « Bachelorette » une comédie efficace, trash et girly à la fois
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(...) ce premier long-métrage (...) est une comédie féminine chorale du genre déjanté, aux dialogues et situations surprenants.
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Du déjà-vu, mais le quatuor féminin dépote !
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Une comédie de filles aux accents parfois trash.
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Une comédie girly où le champagne coule presque autant que le rimmel de la future mariée. Un rôle de composition pour Kirsten Dunst ? Hips !
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Les dialogues des filles ne font pas dans la demi mesure: ça crie trop, ça gesticule trop, ce qui gâche le naturel de ses comédiennes engagées.
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Les prestations de ses actrices font tout le sel de ce mal aimable "Bachelorette"
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(...) ce premier long-métrage (...) est une comédie féminine chorale du genre déjanté, aux dialogues et situations surprenants.
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Bachelorette n'est pas une comédie mais une chronique sur la misère sexuelle des trentenaires. La génération Sex And The City a la gueule de bois!
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Les actrices et, particulièrement Dunst, sont époustouflantes. Headland a également soigné le choix de la musique et pris des risques sur le montage.
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Bien que l’écriture de Headland est pertinente et en accord avec sa génération, elle l’est moins quand il s’agit de faire rire.
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Entre Sex and The City et Mes meilleures amies, cette comédie fait preuve d’une belle énergie dans sa première moitié. Las, l’humeur acide et décapante ne tient pas la distance. On se consolera avec un bel étalage de méchanceté et de perfidie féminine, porté par le peps des comédiennes.
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Kirsten Dunst déçoit dans une comédie bêtement fofolle.
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Même dans ce rôle monotone qui ne mène nul part, Kirsten Dunst est fascinante.
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Un talent d’actrices gâché par un film qui ne les met pas du tout en valeur et procure un sentiment d’agacement plutôt que d’euphorie ; ces femmes sont trop mûres pour jouer les marins grivois, ou consommer de trop grandes quantités de drogue et d’alcool.
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Mais qu'est-elle donc allée faire dans cette galère ? C'est la question que l'on se pose au bout de dix minutes : pourquoi Kirsten Dunst a-t-elle accepté de tourner dans ce film d'une rare débilité ?
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Une comédie qui voudrait être quelque chose entre Mes meilleures amies et Very bad trip. Mais le résultat est affligeant de bêtise et de lourdeur.
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Une comédie à l'hystérie poussive dont la vulgarité n'est même pas réjouissante.
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Si le casting fonctionne à plein, s'ensuit une nuit de beuverie, de bagarres, de vulgarités, de sexe et de vomi... L'humour, même s'il est vachard, se doit quand même d'être drôle.
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Une histoire aigre, sans véritable fil conducteur, qui ne met pas en valeur les talents de ce casting de choix composé de Kirsten Dunst, James Marsden, Adam Scott et Isla Fisher.
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Ce qui est peu engageant dans ce film, c’est de voir à quel point les réalisateurs manquent d’inspiration pour aller récupérer les idées des autres.
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Ce petit jeu de miroir avec les dilemmes masculins débouche sur un constat tiédasse : dans la vie, faites la folle, mais avec modération.
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Vulgaire et téléphoné. Rendez-nous "Very bad trip"!
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Cette comédie veut être un "Very Bad Trip" au féminin. Hélas, trop de méchanceté fusille les tentatives d'humour, même si Kirsten Dunst est à son aise en garce cynique.
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(...) cette comédie version féminine peut vous faire sourire, seulement si vous êtes fan de l'énergique Isla Fisher.
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Comble de tout : à la lucidité pleine d’humanisme d’Apatow, cette affligeante beauferie substitue une misanthropie d’un cynisme tel qu’il s’autorise le plus conformiste des happy end. A fuir !