Closed Circuit

À Londres, en plein coeur du procès à haut risque d’un terroriste, deux avocats, anciens amants, découvrent un complot qui pourrait les mettre en danger. Si le climat british de l’intrigue donne au film de
l’élégance et du mystère, l’excès de paranoïa des personnages d’Eric Bana et de Rebecca Hall finit par agacer. Noyé sous une tonne d’informations superflues, le récit a du mal à maintenir la tension. Reste un thriller politique convenu et anecdotique, bien loin de la puissance de son aîné, La Firme.

Un thriller au quotient intellectuel élevé, un résultat bien aiguisé.

Chaque scène révèle des informations, pour comprendre ce film il faut une attention particulière.

Un film cynique au possible.

Un chassé croisé dans la ville de Londres, du suspense et de la paranoïa.

Un thriller haletant qui pose la question de la légitimité de surveillance dont nous sommes victimes tous les jours...

A afficher des ambitions raisonnées et raisonnables, le risque auquel se confronte John Crowley est celui d'une certaine volatilité. Elle n'épargne guère son film.

Du courage, il en faut aussi au spectateur, sommé de digérer un flot massif d’informations complexes et retorses en un temps record, sous peine de se gratter le front à chaque rebondissement.

Des coïncidences évidentes, une intrigue prévisible, et des révélations sans convictions.

Un thriller parfaitement mené, agréable où chacun peut être le suspect.

Enfin un film ou le mal l'emporte. (...) Mais les ficelles sont tellement grosses que la démonstration en devient ridicule.

Ce film est une série d’évènements peu plausibles avec des scènes de gens qui courent sans cesse.

Ce thriller post-7 juillet 2005 s'éloigne trop vite de la sphère procédurale pour lui préférer le film de suspens et d'action. Efficace, mais convenu.

Un thriller de très moyenne facture, qui manque d’ambitions et de nuances. Il aura au moins le mérite de rappeler que L’Enquête de Tom Tykwer est honteusement mésestimé.

Un thriller qui tombe dans les conventions du genre.

Thriller d'espionnage réalisé par John Crowley, Closed Circuit avait toutes les qualités requises pour faire un film à la fois haletant et réflexif sur la surveillance étatique de notre quotidien. Malheureusement, celui-ci souffre d'un vrai manque d'originalité, il se contente en effet de recycler mollement certains éléments classiques du film d'espionnage. En outre, le potentiel filmique de son sujet collant directement à l'actualité n'est jamais réellement exploité et le spectateur assiste ainsi à un spectacle prévisible et profondément ennuyeux.

Un thriller étonnamment terne.

L’ennui profond des acteurs comme des auteurs qui ont participé à Closed Circuit est palpable à chaque instant, et révèle la faiblesse des bricoleurs involontaires de l’image qui transforment la tragédie en anecdote, au lieu de faire l’inverse.

Ce drame importun, trop détaillé devient sans saveur et délavé au fur et à mesure qu’on avance dans l’histoire.

Image gris Tamise, beaux seconds rôles (Jim Broadbent, Ciarán Hinds), ce thriller british avait tout pour plaire. Hélas, on finit par se ficher qu'Eric Bana et la belle ­Rebecca Hall en sortent vivants.

Un avant goût habile et goûteux des inepties à venir.

On se demande pourquoi ce film a été réalisé ?

Ce thriller paranoïaque et cynique, pèche par son scénario faussement alambiqué, son rythme languissant et ses bavardages interminables.

Faute de personnages consistants, rien n'est fait pour donner envie de s'intéresser aux enjeux inutilement complexifiés de ce thriller paranoïaque minimal, volubile et exsangue. D'autant que le spectateur rompu aux conventions du genre connaît déjà les ressorts de cet exercice ; tout y est prévisible jusqu'aux inévitables coups de théâtre.

Des performances pas fameuses, une intrigue mal ficelée et des dialogues insoutenables.