Kaddish pour un ami

Un adolescent palestinien doit travailler pour son voisin, un vétéran juif bougon. Du choc des cultures à la rédemption, un récit d’apprentissage classique, une version diesel du "Gran Torino" de Clint Eastwood. Le dernier acte est prévisible mais salutaire : quand l’amitié surgit, l’émotion aussi.

Une version irénique et réconfortante de l'importation du conflit israélo-palestinien dans les quartiers européens.

Le premier long-métrage de Leo Khashin est une fable, une ode lumineuse à l'espoir et à la tolérance. Prévisible, mais portée par deux personnages drôlement touchants.

Léo Khashin signe un film humaniste, plein de bonnes intentions, mais totalement prévisible.

Un manque de surprises, d’interrogations, et, finalement, d’engagement du spectateur. Le film se déroule sans heurts et sans douleur, mais n’interpelle ni par son propos, ni par son parti pris formel.