Toutes les critiques de Maggie a un Plan

Les critiques de Première

  1. Première
    par Frédéric Foubert

    Ça y est, c’est officiel: le "Greta Gerwig movie" est un genre à part entière. Qu’elle se nomme Frances Ha, Mistress America, ou Maggie, comme ici, l’actrice joue la même fille: une intello névrosée qui arpente New York en cherchant un sens à sa vie. Dans le registre, la première demi-heure de Maggie a un plan est parfaite: la danse sur "A Message to You, Rudy, Ethan Hawke, les blagues sur le don de sperme... Puis ça se met à ressembler à du Woody Allen en mode random, sans véritable enjeu, ni émotion, ni même une punchline rigolote. Pas désagréable, non, mais totalement inoffensif. Pour les amateurs, néanmoins, il y a de quoi patienter jusqu’au prochain Noah Baumbach.

Les critiques de la Presse

  1. StudioCiné Live
    par Thierry Chèze

    Sans se départir totalement d'un côté "déjà vu", Rebeca Miller signe une oeuvre pétillante d'une élégance folle. 

  2. Les Inrocks
    par Romain Blondeau

    Filant sur près d’une décennie avec un sens de l’ellipse remarquable, le film dessine un parcours sentimental erratique, complexe, dont les rebondissements échappent aux automatismes balisés des comédies romantiques

  3. 20 Minutes
    par Caroline Vié

    La quête du bonheur est au centre de ce film réjouissant, dont les protagonistes explorent la carte du Tendre avec une énergie communicative.

  4. Le Monde
    par Isabelle Regnier

    La mise en scène pompe son énergie pour mettre en mouvement une galaxie de protagonistes, de situations, de rebondissements…

  5. Libération
    par Julien Gester

    (...) l’actrice Greta Gerwig magnifie, entre grâce et maladresses, son rôle de parenthèse.

  6. Télérama
    par Aurélien Ferenczi

    Son triangle amoureux est tout sauf neuf, mais la qualité de l'écriture et le charme des comédiens le rendent parfois irrésistible.

  7. Nouvel Obs
    par Pascal Mérigeau

    Greta Gerwig, repérée dans "Frances Ha", est en passe de devenir un genre cinématographique à elle toute seule. Peut-être est-ce une bonne nouvelle en ce qui la concerne, mais son numéro commence à lasser. 

  8. L'Humanité
    par Vincent Ostria

    Un vulgaire sous-produit de plus d’une vague post-Woody Allen qui s’essouŸe.