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Si la deuxième partie de ce premier long-métrage ne devenait pas lourdement explicative (et freudienne !), nous serions peut-être devant un petit bijou. Reste l’exposition et son côté choquant remis en cause par la façon paisible dont la frêle hétaïre semble vivre ses amours gérontophiles. Et Hande Kodja, qui confirme les promesses de Meurtrières.
Toutes les critiques de Marieke
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Ne passez surtout pas à côté de ce beau film sur le risque de vivre et d'aimer.
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Si "Marieke" échappe à la chronique sordide et démonstrative, c'est que le film se refuse contre toute attente à se repaître d'une névrose gérontophile pour se concentrer sur l'histoire d'une reconstruction.
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Ce portrait d'une certaine lourdeur psychologique vaut surtout par l'interprétation de Hande Kodja dans le rôle titre.
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Malheureusement, tout dans ce film fait mise en scène et rien ne semble pouvoir s'échapper d'un cadre trop balisé et rigide pour convaincre.
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C'est plutôt avec douceur et sensibilité que la réalisatrice brosse le portrait de son héroïne, qui se cherche et se construit peu à peu. Las, le scénario, trop timoré, trop prévisible, manque de densité pour que le film échappe à une certaine monotonie.