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Le réalisateur de Mondovino a mis des années à emballer cette comédie anar et sexy sur les riches, les pauvres et la liposuccion. Le résultat, parfois hilarant, est constamment "nanardesque".
Toutes les critiques de Rio Sex Comedy
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Bon fond, bon rire, bon film.
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Après son remarqué Mondovino, Jonathan Nossiter change d’air pour une comédie en roue libre dans les favelas de Rio, mêlant documentaire et fiction de manière déconcertante.
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C'est souvent mou, pas toujours bien joué, moyennement caustique. Mais on peut y puiser le même plaisir que dans une série B (voire Z), qui zigzague, passe du coq à l'âne, moque le politiquement comme l'esthétiquement correct. (...) Le charme tient à ce que Jonathan Nossiter filme comme s'il était en vacances, ouvert à tous les possibles.
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On aime bien l'américain Jonathan Nossiter auteur d'un documentaire à succès, il est passé cette fois à la caïpirinha et aux plages de Copacabana pour réaliser un nanar désarmant de naïveté
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L'auteur de Mondovino signe une comédie de moeurs foutraque et insensée. De quoi y perdre joyeusement son latin.
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Le réalisateur de Mondovino, le célèbre documentaire sur le vin, a dû en boire pas mal pour imaginer ce film navrant.
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Comme tout film qui revendique l'étiquette de la "fantaisie", Rio Sex Comedy n'a pourtant rien pour plaire. (...) Dommage que Nossiter se soit rué dans l'impasse "fantaisie", car son film bizarre est très grossier, mais pas dénué de finesse.
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Jonathan Nossiter nous a concocté une interminable succession de clichés touristique et sociaux sur Rio (...) au final on ne sait pas trop ce qu'il a voulu faire : satire sociale exotique? Délire touristique ? Comédie sexuelle débridée? Quoi que ce soit, c'est raté.
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Les inhibitions fondent. La libido l’emporte. Et la folie couve. A moitié improvisé et bien barré, "Rio Sex Comedy" – sorte de telenovela politiquement corrosive – révèle les contradictions d’un pays bien plus complexe qu’il n’y paraît. S’il n’engendre pas la mélancolie, il est aussi trop anarchique, long et mal ficelé pour qu’on le considère autrement que comme une curiosité.
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Autant vous le dire de suite, le principal souci de Rio Sex Comedy, c'est qu'il n'est pas drôle. Ce qui, pour une comédie, est plutôt un handicap, vous en conviendrez. Certaines scènes relèvent même du nanar pur et dur.
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Une chirurgienne esthétique (Charlotte Rampling), une sociologue (Irène Jacob), mais aussi un ambassadeur américain, un arnaqueur des favelas... Jonathan Nossiter aurait voulu les entraîner dans une danse effrénée, après tout, on est à Rio. Mais les personnages ne font que piétiner sur place, comme le film.
