Toutes les critiques de Safe

Les critiques de la Presse

  1. Ecran Large
    par Laurent Pécha

    En perte de vitesse depuis quelques films, Statham revient plus énervé que jamais. La mise en scène inventive de Boaz Yakin dopée par le montage de feu de Frédéric “Taken” Thoraval lui permet d’être le héros d’un jeu de massacre ultra jouissif.

  2. 20 Minutes
    par Caroline Vié

    [Boaz Yakin] préfère les décharges d'adrénaline à l'analyse psychologique pour livrer un polar nerveux. "Safe" ne fait pas dans la dentelle, mais dans le décousu main !

  3. L'Express
    par Julien Welter

    Les fans de Jason apprécieront , les autres non.

  4. par Sylvestre Picard

Boaz Yakin, qu’on a connu auteur du mélo sportif Le Plus Beau des combats, agrémente ses gunfights violents et réjouissants de punchlines viriles (« T’en as une sacrée paire. – Ouais, incroyable que j’arrive encore à marcher. »), comme s’il s’agissait d’une production Cannon des 80’s. Outrageusement daté mais finalement très recommandable

  • Critikat.com
    par Camille Pollas

    Ne disons pas que "Safe" est mauvais, il a la beauté d'une statue de cire : matière nutritive pour certains fans, il passera pour pâle et figé auprès des autres publics.

  • Le Parisien
    par Hubert Lizé

    [Jason Statham] fait une nouvelle fois parler la poudre et saillir ses muscles. Pour le reste, "Safe" ne brille ni par son originalité ni par sa finesse. Mais Jason fait le métier.

  • StudioCiné Live
    par Thierry Chèze

    Bien sûr, Statham est un cascadeur hors pair. Mais pour le reste et surtout le semblant d'intrigue : encéphalogramme plat. À recommander aux seuls mordus de Jason.

  • Le Parisien
    par Hubert Lizé

    « Safe » ne brille ni par son originalité ni par sa finesse. Mais Jason fait le métier.

  • A voir à lire
    par François Blet

    Le scénariste de Dirty Dancing 2 fait un pas de plus dans l’indigence, entraînant de facto le pauvre Statham et nos fantasmes barbares dans sa terrible chute.

  • Nouvel Obs
    par Bernard Achour

    Ce thriller aux scènes d’action illisibles tant le montage et les changements d’axe relèvent du terrorisme rétinien inaugure en fanfare la saison des fonds de tiroirs estivaux. Coursé par les triades asiatiques, la mafia russe et des flics américains ripoux, Jason Statham s’y démultiplie par douze dans une apocalypse de décibels propre à superposer une double fracture des tympans à la torture oculaire mentionnée plus haut.