Toutes les critiques de Sous-sols

Les critiques de Première

  1. Première
    par Christophe Narbonne

    Provocateur dégueulasse pour les uns, chroniqueur intraitable du monde moderne pour les autres, Ulrich Seidl ne va réconcilier personne avec ce documentaire hardcore. Il y recense tout ce que l’Autriche compte de freaks et de pervers : une femme qui chérit des poupées de bébés ultraréalistes, de vieux nazis alcoolos, des jeunes punks en mode zombies... Le fait d’avoir choisi des allumés qui ont aménagé leur sous-sol pour assouvir leurs fantasmes n’est évidemment pas anodin au pays de Natascha Kampusch et d’Elisabeth Fritzl, célèbres cas de victimes séquestrées sous terre. Plus grotesque qu’édifiant, superbement filmé, ce catalogue de pratiques déviantes ne raconte en définitive pas grand-chose.

Les critiques de la Presse

  1. A voir à lire
    par Maxime Lachaud

    Plongée dans l’Autriche secrète avec une galerie de grotesques que n’auraient reniée ni Sherwood Anderson ni Diane Arbus, cet exercice brillant, souvent tragicomique, bénéficie d’un montage d’une musicalité hypnotique.

  2. A voir à lire
    par Maxime Lachaud

    Plongée dans l’Autriche secrète avec une galerie de grotesques que n’auraient reniée ni Sherwood Anderson ni Diane Arbus, cet exercice brillant, souvent tragicomique, bénéficie d’un montage d’une musicalité hypnotique.

  3. Télérama
    par Jacques Morice

    Entre plongée en enfer et revue de variétés, "Sous-sols" est une sorte de parade ahurissante, grotesque, dérangeante. Très crue et pourtant distanciée, filmée de manière stoïque et calme.

  4. Télérama
    par Jacques Morice

    Entre plongée en enfer et revue de variétés, Sous-sols est une sorte de parade ahurissante, grotesque, dérangeante. Très crue et pourtant distanciée, filmée de manière stoïque et calme. 

  5. 20 Minutes
    par Caroline Vié

    La mise en scène de Seidl est faite de longs plans fixes d’une splendeur fascinante prenant le spectateur dans les rets d’une œuvre hors du commun.

  6. 20 Minutes
    par Caroline Vié

    La mise en scène de Seidl est faite de longs plans fixes d’une splendeur fascinante prenant le spectateur dans les rets d’une œuvre hors du commun.

  7. Nouvel Obs
    par La rédaction de Nouvel Obs

    (...) c’est superbe à regarder (on pense aux photos de Diane Arbus), et c’est une plongée hallucinante dans la noirceur grotesque de l’esprit humain.

  8. Nouvel Obs
    par La rédaction du Nouvel Obs

    (...) c’est superbe à regarder (on pense aux photos de Diane Arbus), et c’est une plongée hallucinante dans la noirceur grotesque de l’esprit humain.

  9. Critikat.com
    par Adrien Mitterrand

    (...) ce rapport de domination, c’est dans le positionnement même du réalisateur que nous le retrouvons dans sa manifestation la plus éclatante. Il faut reconnaître à Seidl de parvenir à s’approcher au plus près de ses sujets.

  10. Critikat.com
    par Adrien Mitterrand

    (...) ce rapport de domination, c’est dans le positionnement même du réalisateur que nous le retrouvons dans sa manifestation la plus éclatante. Il faut reconnaître à Seidl de parvenir à s’approcher au plus près de ses sujets. 

  11. StudioCiné Live
    par Thomas Baurez

    Le réalisateur porte un regard cynique qui mêle complaisance et ironie.

  12. Le Monde
    par Jacques Mandelbaum

    "Sous-sols" est, à ce titre, davantage une farce noire, un essai polémique, un exercice de détestation qu’un documentaire à proprement parler. Cette hypothèse est d’ailleurs la seule qui permettrait de tirer de ce film, sinon une cruelle complicité, du moins une souriante indulgence.

  13. Le Monde
    par Jacques Mandelbaum

    Sous-sols est, à ce titre, davantage une farce noire, un essai polémique, un exercice de détestation qu’un documentaire à proprement parler. Cette hypothèse est d’ailleurs la seule qui permettrait de tirer de ce film, sinon une cruelle complicité, du moins une souriante indulgence.

  14. Le JDD
    par Stéphanie Belpêche

    Alternant les plans fixes et des interviews, le cinéaste se livre à une fascinante étude anthropologique.

  15. Le JDD
    par Stéphanie Belpêche

    Alternant les plans fixes et des interviews, le cinéaste se livre à une fascinante étude anthropologique. 

  16. StudioCiné Live
    par Thomas Baurez

    Le réalisateur porte un regard cynique qui mêle complaisance et ironie.