En cause : la date de sortie du film qui a été repoussée au mois de novembre.
Des problèmes et des contretemps, il y en a eu un paquet au cours de la production de Mourir peut attendre. Entre le départ surprise de Danny Boyle chargé de réaliser le projet, l’opération de la cheville de Daniel Craig dû à une explosion qui a mal tourné sur le plateau en mai dernier – explosion qui a également blessé un membre de l’équipe de tournage et qui a ravagé une partie des décors – sans oublier l’épidémie du coronavirus qui a décalé la date de sortie du film initialement prévu en salles le 8 avril au mois de novembre… Le 25e film de la saga James Bond pourrait aisément s’ajouter à la longue liste des "films maudits" de l’histoire du cinéma. Une appellation relayée dans de nombreux médias, et qui a le don d’agacer l’interprète de l’agent secret. "Ça m’énerve, a confié Daniel Craig au magazine GQ. Je me dis ‘Ne portez pas la poisse à notre film’. Et aussi, on fait de notre mieux."
Daniel Craig parodie une scène de Mourir peut attendre pour faire patienter les fansL’acteur s’est dit particulièrement fier du film. Pourtant, Daniel Craig n’était au départ pas vraiment dans l’optique de remettre le couvert dans la peau de James Bond, cinq ans après la sortie de Spectre. "Je pensais que je n’allais jamais retourner dans un James Bond, a révélé l’acteur. Je me demandais si ça valait vraiment la peine de me replonger dans tout ça. Et je me sentais assez faible physiquement. Donc la simple idée de tourner une suite était exclue. C’est pourquoi il s’est passé cinq ans entre les deux films." Cinq années et un joli chèque de 25 millions de dollars à la clé pour la star d’À couteaux tirés, qui signera donc son cinquième film dans la célèbre franchise.
Commentaires