La ravissante actrice française Léa Seydoux, 28 ans, nommée dans la catégorie meilleure actrice à la prochaine Nuit des César pour son rôle dans La Vie d'Adèle, reviendra prochainement à l'affiche de deux films très attendus : La Belle et la Bête avec Vincent Cassel, et The Grand Budapest Hotel de Wes Anderson avec une pléiade de stars.Mais aujourd'hui, ce ne ne sont pas ses brillants choix cinématographiques qui nous intéressent, mais son patronyme.Le magazine Capital vient en effet de publier une grande enquête afin d'analyser et de décrypter le clan Seydoux, l'une des familles les plus puissantes du cinéma français. Un article riche et fourni, détaillé et passionnant, où toute la généalogie de la famille est passée au crible et gravite autour du joyau de la dynastie, celle qui est la plus médiatisée et qui attire la lumière : Léa.Ainsi, la jeune comédienne est la fille de Valérie Schlumberger et d'Henri Seydoux. Ce dernier est le PDG de l'empire Parrot et, après avoir divorcé de la mère de Léa, il a épousé la top model Farida Khelfa, muse des années 80 et meilleure amie de Carla Bruni. Par son père, Léa se trouve donc être la petite-fille de Jérôme Seydoux, président de Pathé, qui n'est autre que le frère de Nicolas Seydoux, président de Gaumont, mais aussi de Michel Seydoux, le président du LOSC (le club de football de Lille, actuel 3e du championnat de Ligue 1). La boucle est bouclée, les pièces sont à leurs places et la partie d'échec, gagnée d'avance, peut commencer pour Léa.En dehors de la publication de cette généalogie remarquable, le magazine Capital s'est également procuré plusieurs documents concernant la jeune actrice, et notamment son contrat pour La Belle et la Bête, le conte mis en scène par Christophe Gans que nous découvrirons en salles le 12 février. Cette superproduction française distribuée par... Pathé, offre le beau rôle à Léa qui a exigé contractuellement à la production "de prendre en charge son "coach de jeu" personnel, une coiffeuse et une maquilleuse "à sa disposition exclusive", une doublure si nécessaire pour les scènes dénudées et un styliste personnel durant la promo." Dans l'article du magazine, on apprend également quelques "caprices" de star, comme le fait d'avoir voulu et obtenu la caravane "la plus favorisée du tournage", plus confortable que celle de l'autre star du film, Vincent Cassel.Cependant, outre ces quelques exigences qui peuvent surprendre mais qui sont plus que courantes dans le milieu et parfois beaucoup plus excessives, Capital fourni aussi le salaire de l'actrice. Là encore, même s'il s'agit d'une somme rondelette, on est loin des sommes engendrées par des stars comme Dany Boon, Gérard Depardieu, Cécile de France ou Audrey Tautou.Ainsi, le mensuel dévoile qu'elle a touché pour La Belle et la Bête une rémunération de base de 300 000 euros pour la production complète, auxquels viendront s'ajouter 2% de commission sur les recettes, des revenus en plus qui seront donc dépendants du nombre d'entrées.Si elle est bien née - fait sur lequel elle n'a eu aucune influence -, Léa Seydoux ne semble donc pas spécialement abuser de sa position. Elle n'a pas plus d'exigences matérielles ou salariales que n'importe quelle star française ayant du succès. Cette enquête devrait donc permettre à certains observateurs d'être plus objectifs et de s'intéresser enfin à ce qui compte vraiment : son talent.Et il est indéniable.Retrouvez le dossier complet sur le clan Seydoux dans le magazine Capital, édition de février 2014, actuellement en kiosques.La bande-annonce de La Belle et la Bête, en salles le 12 février :
- People
- News People
- PHOTOS - Léa Seydoux : salaire, exigences et caprices de la princesse du clan Seydoux
PHOTOS - Léa Seydoux : salaire, exigences et caprices de la princesse du clan Seydoux
Commentaires