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Marie fait du violoncelle et cartonne à l’école. Victor fait du bruit dans son garage et est un véritable cancre. Ces deux-là vont s’épauler, s’aimer, sans doute. Ah, un détail : Marie perd progressivement la vue. Avec la générosité premier degré qu’on lui connaît, Michel Boujenah signe un portrait de l’adolescence pétri de bons sentiments dans lequel les béquilles (physiques, morales) de chacun sont autant de prétextes pour amplifier le pathos généralisé. Mieux qu’un long discours, une réplique extraite du film : « L’amour sans les mensonges, c’est plus l’amour ».
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Cette fable ovniesque lorgne vers Dupieux ou Max et les maximonstres, mais ressemble à un mauvais sketch étiré.