Les pingouins de Madagascar

"La Grande Aventure Lego" avait revisité avec beaucoup de brio les standards du film d’animation post-"Shrek" dopé aux références pop et aux scènes d’action débridées. Ces Pingouins... boxent dans la même catégorie. Le spin-off de "Madagascar" s’ouvre ainsi sur un hilarant pastiche de documentaire animalier, avec la voix très emphatique de Werner Herzog et son inimitable accent, pour embrayer à un rythme effréné sur un film d’espionnage délirant et virevoltant entre Venise, New York, Rio et Shanghai, à bord d’improbables véhicules, dans les airs comme sous l’eau. La mise en scène virtuose donne à ce voyage des airs de grand huit sous coke, dégainant les gags hilarants en rafale, au risque de la surchauffe. On en ressort un peu étourdi mais avec l’envie de claquer des high five !

Un film délicieusement absurde avec en vedette un quatuor de petits oiseaux saugrenus qui joue les commandos.

Bourré de trouvailles, de jeux de mots et de personnages croquignolets, ce dessin animé cinq étoiles va vous émerveiller !

Menée tambour battant grâce à un scénario malin et à une mise en scène inspirée, cette pépite n'accuse aucune baisse de régime. Au-delà de son rythme effréné, le résultat brille par son humour.

Ces pingouins sont vraiment mignons et l'animation est constamment attrayante. Ce film est manifestement destiné à rapporter un max au box-office.

Gags à gogo, cascades en pagaille, les scénaristes et les réalisateurs impriment un rythme trépidant. Réjouissant !

Eric Darnell et Simon J. Smith, les réalisateurs, gardent un rythme effréné : si une blague ou un gag est raté, il y en aura d'autres juste après.

On ne peut que respecter un dessin animé pour enfants qui démarre avec une blague sur Werner Herzog - même s'il est volontairement et merveilleusement stupide et léger comme "Les Pingouins de Madagascar".

Le pouvoir du pingouin ! Soumettez-vous ! Toute résistance est inutile !

L'équipe de "Madagascar" a une nouvelle fois réussi son coup - un sympathique moyen de débuter Thanksgiving. Un film pour toute la famille.

Les sketchs à mourir de rire s’enchainent à une vitesse folle sur un scénario plein de rebondissements. Le rythme est bien soutenu du début à la fin du film. Si vous avez aimé "Madagascar", vous dégusterez avec plaisir cette production.

Nos pingouins vont faire face à de nombreuses aventures qui raviront les plus petits. Les plus grands ne seront pas en reste car de nombreux gags leur sont destinés, voir même un peu trop… C’est rythmé, ça bouge non-stop, bref de quoi tenir en haleine le plus hyperactif des bambins.

Un film d'animation séduisant et enthousiasmant qui remplit totalement son cahier des charges : divertir !

Les enfants craquent pour ce quatuor dynamique et leurs parents aussi car le film est truffé de références à la culture populaire.

Fidèles à leur pedigree brindezingue et leur goût pour l'adrénaline, les palmipèdes nous entraînent dans une odyssée sans queue ni tête, bourrée d'humour pour tous et sans une seconde de répit.

C'est plutôt drôle, ça ne manque pas de rythme, mais c'est assez vite répétitif. Bref, on navigue ici un bon cran en dessous de la série d'origine.

Les références à la pop culture foisonnent et bien malin celui qui les remarquera toutes. Alors que la première partie passe en un claquement de bec, le dernier tiers de cette aventure est assez poussif. Un dénouement moins alambiqué aurait profité aux "Pingouins".

Ce film vise avant tout les enfants. Il passe d'une scène d'action effrénée à l'autre, comme un cartoon détraqué de Walter Lanz.

Le prétexte d'une collection de gags en tout genre, du plus réussi (le braquage d'un distributeur de chips) au plus éculé (les éternelles courses-poursuites). Pas de quoi bouleverser le monde du cartoon, mais juste assez rigolo pour un spectacle de Noël.

Un film, qui donne dans l'avalanche de gags, l'hystérie collective et la surenchère de scènes délirantes. Mais les pingouins sont ici réduits à l'état de gaffeurs invétérés et sombrent même par moments dans une mièvrerie digne des ­"Bisounours". On rit, certes, mais à leurs dépens, ce qui est tout le contraire de l'hilarité cintrée qu'ils provoquaient dans les trois films précédents.

C'est un film morne et bouillonnant qui est rarement drôle.

Sympa et drôle bien que franchement survolté. Dommage qu'en VF, le second degré passe à la trappe.

Le film n'est clairement pas à la hauteur du premier opus de la trilogie passée, mais le résultat n'est pas pour autant catastrophique et l'aspect parodique de cette nouvelle histoire est drôle. Il faut juste noter que les pingouins semblent ici avoir quelque peu perdu de leur splendeur.

Menée tambour battant, cette nouvelle production des studios Dreamworks n’a pas l’originalité de ses autres sagas, mais la parodie burlesque de films d’espionnage est assez réjouissante.

Un scénario culotté et loin d'être classique ainsi qu'un doublage enjoué de Benedict Cumberbatch et John Malkovitch devraient divertir les petits et les grands pendant les vacances.

Les seconds rôles de "Madagascar" deviennent ici les héros d’un film d’espionnage, un peu trop barré mais marrant.

le film est mené tambour battant. Trop presque. Les scènes d'action, les cascades, les bagarres se succèdent à un rythme effréné. Les blagues des héros et les punchlines donnent à peine le temps de respirer aux spectateurs. Heureusement, l'ensemble est visuellement très réussi et vraiment très drôle.

Une première partie déjantée et délirante propulsée à 100 à l'heure (...) et une seconde partie ramollie et bien pensante, sans rythme si gaudriole (...) Au final, un demi-très bon film. Et donc une demi-grosse déception.

Le film n'est pas révolutionnaire mais ces pingouins dégagent une crétinerie et une joie de vivre assez communicatives !

Après une introduction très prometteuse et irrésistible d'humour méta, le film s'essouffle rapidement Mais obsédés par le rythme frénétique de leur film, les réalisateurs perdent un peu de son efficacité comique. Elle se dissout dans un scénario finalement très conventionnel.

Malgré quelques saillies qui justifient l’appartenance du film au cinéma pour enfants, la plus grande partie du long métrage décalque des situations exemptes de poésie, recycle les sempiternelles explosions, chasses à l’homme (en l’état chasse aux pingouins) et autres scènes d’action classiques.

Quelques idées loufoques ici et là ne permettent pas à cette offensive en noir et blanc de remonter le niveau des dernières productions Dreamworks, dont on retrouve le goût immodéré pour des couleurs vives pop et des traits de crayon numérique un peu légers pour combler également l’attrait esthétique du public pour ce type de film.

Une molle tentative de faire une intrigue internationale mignonne et agréable.

Passé un prologue en Antarctique réussi, on regrette que le rythme s’emballe et que le scénario, ultraréférencé, parte dans tous les sens pour s’achever dans une hystérie collective.