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Avec Adieu, sorti en 2004, Arnaud Des Palliere s’était imposé comme un réalisateur à suivre. Sa mise en scène dense et hypnotique striée par des voix sombre et pesante donnait du corps à une œuvre lyrique sur le monde moderne. Rebelote avec Parc, avec toutefois moins de brio. Lorsqu’il raconte le voisinage mouvementé des George Clou et Paul Marteau, il se perd dans des considérations vite imbitables. On ne comprend rien à cette adaptation d’un roman de John Cheever, ou juste une chose : quelque chose ne tourne pas rond. C’est bien peu.
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Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Voila un film mal aimable, qui ne se laisse pas résumer par son intrigue et qui exerce un pouvoir cauchemardesque sur le spectateur. Un film fascinant, tant il jouedu pouvoir hypnotique et terrifiant des images sans que la violence soit montrée.