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Room se divise en deux parties inégales. La première moitié du film est confinée entre les quatre murs d’une pièce exiguë et met en scène le quotidien d’une mère et son fils. Le point de vue se partage entre les deux personnages et les plus belles idées appartiennent à Jack, garçon de 5 ans né en captivité, qui n’a jamais vu le monde extérieur. Sa manière de nommer la réalité – il personnifie leur prison en l’appelant "Room", sans article – et d’en appréhender le peu qui lui est accessible produit une poésie troublante, émouvante sans verser dans le pathos. La mère, qui ne tient que pour lui, semble glisser lentement vers l’abîme. Puis le film perd une grande partie de sa force en sortant de la Room, même s’il offre au passage une superbe séquence d’évasion. Petite œuvre délicate inspirée d’histoires vraies qui passionnent les JT (Natascha Kampusch, Elisabeth Fritzl et autres destins sordides), ce drame de Lenny Abrahamson (celui qui a embauché Michael Fassbender pour le cacher sous une tête en papier mâché dans Frank) a pris de l’ampleur au fil des festivals et de la saison des prix – à l’heure où on écrit, il fait partie des favoris aux Oscars. Une reconnaissance qui pourrait presque lui nuire car il ne s’apprécie jamais mieux que dans ce cadre, modeste, fragile, de la sensation indé auquel il appartient.
Toutes les critiques de Room
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Dans ses envolées, "Room" conserve encore sa justesse et sa tenue. Sans doute parce qu’il peut compter sur les performances absolument époustouflantes de naturalisme de Brie Larson et Jacob Tremblay.
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Un des meilleurs films de l'année.
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"Room" mérite d'être vu sans avoir été spoilé avant. Tout ce que vous devez savoir, c'est que les performances de Brie Larson et Jacob Tremblay vont vous épater. Ok "Room" est un petit film, mais son impact est énorme.
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Vous devez le voir pour Brie Larson - qui a toutes les qualités pour un Oscar - et le jeune Jacob Tremblay : leur remarquable lien mère/enfant est stupéfiant à regarder.
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Ce qui aurait pu être un film sordide et abusif est en réalité un hommage à l'amour maternel et à l'imagination des enfants.
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Un film extraordinaire, si puissant et inoubliable qu'il faut absolument le voir.
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"Room" est une succession de plusieurs états : louche, effrayant, exaltant puis effrayant et exaltant encore et encore.
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Room n'est peut-être pas un endroit sympa pour passer deux heures, mais c'est une expérience troublante que vous n'oublierez pas.
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Vous devez le voir pour Brie Larson - qui a toutes les qualités pour un Oscar - et le jeune Jacob Tremblay : leur remarquable lien mère/enfant est stupéfiant à regarder.
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Comme le roman d’Emma Donoghue (...), le film de Lenny Abrahamson ne s’écarte jamais de la perspective humaine de ses deux personnages principaux. Pour y parvenir, il fallait choisir très justement les interprètes.
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Un film extraordinaire, si puissant et inoubliable qu'il faut absolument le voir.
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"Room" n'est peut-être pas un endroit sympa pour passer deux heures, mais c'est une expérience troublante que vous n'oublierez pas.
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Room, véritable marathon émotionnel, est au final autant le récit pendant près d'une heure d'une captivité que celui d'une évasion.
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Dans ses envolées, Room conserve encore sa justesse et sa tenue. Sans doute parce qu’il peut compter sur les performances absolument époustouflantes de naturalisme de Brie Larson et Jacob Tremblay.
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Un des meilleurs films de l'année.
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Room mérite d'être vu sans avoir été spoilé avant. Tout ce que vous devez savoir, c'est que les performances de Brie Larson et Jacob Tremblay vont vous épater. Ok Room est un petit film, mais son impact est énorme.
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Ce qui aurait pu être un film sordide et abusif est en réalité un hommage à l'amour maternel et à l'imagination des enfants.
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Room est une succession de plusieurs états : louche, effrayant, exaltant puis effrayant et exaltant encore et encore.
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Alors qu'il vacille avec grâce et imagination dans sa première moitié, en grande partie grâce à Jack, il dégénère en un ennuyeux et banal film de thérapie dans sa seconde moitié.
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Brie Larson et Jacob Tremblay font battre le coeur de cette adaptation tronquée, mais toujours puissante, du roman d'Emma Donoghue.
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Alors qu'il vacille avec grâce et imagination dans sa première moitié, en grande partie grâce à Jack, il dégénère en un ennuyeux et banal film de thérapie dans sa seconde moitié.
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Concernant et assez réconfortant ici et là, même s'il n'arrive pas à atteindre les hauts niveaux de connaissances psychologiques et de profondeur émotionnelle auxquels le film aspire.
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Brie Larson et Jacob Tremblay font battre le coeur de cette adaptation tronquée, mais toujours puissante, du roman d'Emma Donoghue.
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Le réalisateur (...) évite soigneusement les lignes de fuite qui pourraient nous perdre pour sonder avec acuité notre rapport aux décors et aux pauvres individus qui les peuplent.
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Un portrait fin et touchant.
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Room montre une subtilité hors du commun, évite de basculer dans l'épouvante. On songe à certains faits divers récents. Lenny Abrahamson les transforme en tragédie moderne.
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Concernant et assez réconfortant ici et là, même s'il n'arrive pas à atteindre les hauts niveaux de connaissances psychologiques et de profondeur émotionnelle auxquels le film aspire.
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Le récit témoigne d’une certaine difficulté à figurer "l’après" et le stress post-traumatique autrement que par une somme de phobies sociales.