Il joue les hommes du monde dans le répertoire boulevardier de la Belle Époque et au cinéma vers 1912. Il paraît souvent grâce à Maurice Tourneur, qu'il retrouve en 1932 dans les Gaietés de l'escadron. Tenté par la réalisation, il propose des films commerciaux soignés : Violettes impériales (1924), Destinée (1925). En 1918, l'Âme du bronze avait fait impression. Interprète, il dessine avec humour ses rôles de La nuit est à nous (CO C. Froelich, 1929), les Nouveaux Messieurs (J. Feyder, id.), Café de Paris (Y. Mirande et G. Lacombe, 1938).