Toutes les critiques de Dune de Jodorowsky

Les critiques de Première

  1. Première
    par Eric Vernay

    "Génial, c’est nul!", s’écria Jodorowsky devant le Dune de David Lynch en 1984. Soulagé, car l’ambition de sa propre version, avortée en 1977, n’avait pas été égalée : devaient en effet s’y croiser Orson Welles, Mick Jagger et Salvador Dalí, sur un story-board de Moebius et une BO de Pink Floyd. Un rêve démesuré selon les majors hollywoodiennes de l’époque, séduites par ce trip SF sous LSD mais peu rassurées par son réalisateur illuminé. Conté par Jodo lui-même (d’une pétulance contagieuse) et ses "guerriers spirituels" (le trio Giger / O’Bannon / Foss notamment, dont les visions avant-gardistes serviront sur Alien), le documentaire fait de ce cuisant échec une réjouissante épopée

Les critiques de la Presse

  1. StudioCiné Live
    par Laurent Djian

    Jodorowksy (...) donne une âme à ce doc d'autant plus passionnant qu'il débouche sur une réflexion sur le sens del'art.

  2. Le JDD
    par Stéphanie Belpêche

    Un documentaire inouï, passionnant, accessible aux néophytes. 

  3. Nouvel Obs
    par La rédaction du Nouvel Obs

    Le documentaire ne sort qu’aujourd’hui alors qu’il date de 2013. Qu’importe : les films vieillissent, pas les folles histoires de ceux qui ne verront jamais le jour.

  4. Télérama
    par Jeremie Couston

     Tous les prestigieux témoins de cet exaltant documentaire s'accordent à dire que le résultat aurait changé l'avenir du cinéma à effets spéciaux. 

  5. Les Inrocks
    par Vincent Ostria

    Ce documentaire passionnant retrace l’échec du projet d’adaptation mégalo du best-seller de la SF, Dune de Frank Herbert, par le tarologue cosmique Alejandro Jodorowsky.

  6. A voir à lire
    par Maxime Lachaud

    À travers ce documentaire, Frank Pavich lui donne une existence presque tangible et prouve que de l’échec peut naître une belle leçon de philosophie sur l’art, la vie et l’ambition.

  7. Le Monde
    par Thomas Sotinel

    Jodorowsky’s Dune traite ce matériau stupéfiant (comme les opiacés) avec tant de déférence et de sagesse qu’on ne peut reconnaître au film que quelques mérites : l’établissement de la chronologie, la compilation de témoignages, sans qu’on n’ait jamais l’impression d’être ailleurs que devant un récepteur de télévision.