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Malgré tout D. Carrénard échappe à la complaisance autocentrée grâce à son trio de personnages et à ses situations souvent arides. Plus que par ses qualités narratives ou de jeuFLA, laisse affleurer cette énergie contestataire qui éblouissait dans Donoma, avec moins de force toutefois.
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Les promesses de Donoma ne sont pas du tout tenues dans ce grand fourre-tout Lelouchien qui épuise les résistances.