Toutes les critiques de Lamb

Les critiques de Première

  1. Première
    par Eric Vernay

    À la mort de sa mère, Ephraïm, 9 ans, est confié par son père à des cousins éloignés. "Lamb" raconte comment ce gamin éthiopien tente de trouver sa place dans une ferme nichée au milieu des montagnes, avec pour seule amie... sa brebis : manque de bol, dans ces contrées, les moutons sont sacrifiés pour les fêtes. Entre paysages volcaniques de carte postale et regard critique sur une jeunesse étouffée par les traditions rurales (cuisine réservée aux femmes, mariages arrangés, mépris du savoir intellectuel, mode de vie à la dure, coups de fouet...), Yared Zeleke déroule avec une sensibilité touchante le récit initiatique de cet incompris à la Comencini, dans une forme hélas un peu trop convenue.

Les critiques de la Presse

  1. Le Parisien
    par Pierre Vavasseur

    "Lamb", habité par de sublimes paysages, marie suspense, tendresse et voyage initiatique, et devrait faire un carton en milieu scolaire. Et un carton tout court pour peu que toute la famille ait envie de faire un beau voyage pour le prix d'un ticket. Non d'avion mais de cinéma.

  2. Le Parisien
    par Pierre Vavasseur

    Lamb, habité par de sublimes paysages, marie suspense, tendresse et voyage initiatique, et devrait faire un carton en milieu scolaire. Et un carton tout court pour peu que toute la famille ait envie de faire un beau voyage pour le prix d'un ticket. Non d'avion mais de cinéma.

  3. StudioCiné Live
    par Laurent Djian

    L'absence de mièvrerie apporte une émouvante authenticité à ce film, dont la peinture du quotidien au fin fond des montagnes prend des allures de documents ethnographique.

  4. 20 Minutes
    par Caroline Vié

    (...) ce conte entre réalisme et poésie prouve que le cinéma éthiopien peut receler de bien belles surprises. On recommande chaleureusement celui-ci.

  5. Télérama
    par Cécile Mury

    Touchant, mais pas seulement.

  6. A voir à lire
    par Jean-Claude Arrougé

    (...) un beau film onirique et émouvant, qui ne dérape jamais dans les larmoiements. 

  7. L'Express
    par Christophe Carrière

    Passé quelques images un peu trop contemplatives, cette chronique évite les écueils de la fable initiatique et dépeint intelligemment les dilemmes et contradictions d'un pays rarement approché au cinéma.

  8. 20 Minutes
    par Caroline Vié

    (...) ce conte entre réalisme et poésie prouve que le cinéma éthiopien peut receler de bien belles surprises. On recommande chaleureusement celui-ci.

  9. A voir à lire
    par Jean-Claude Arrougé

    (...) un beau film onirique et émouvant, qui ne dérape jamais dans les larmoiements.

  10. StudioCiné Live
    par Laurent Djian

    L'absence de mièvrerie apporte une émouvante authenticité à ce film, dont la peinture du quotidien au fin fond des montagnes prend des allures de documents ethnographique. 

  11. Télérama
    par Cécile Mury

    Touchant, mais pas seulement. 

  12. L'Express
    par Christophe Carrière

    Passé quelques images un peu trop contemplatives, cette chronique évite les écueils de la fable initiatique et dépeint intelligemment les dilemmes et contradictions d'un pays rarement approché au cinéma. 

  13. Gala
    par Camille Choteau

    Plus que la qualité de ce joli film, destiné a un public fami­lial, c’est sa genèse qui nous le rend précieux.

  14. Libération
    par Julien Gester

    La peinture du déracinement, des caprices du climat déréglé ou des rapports hommes-femmes ne manque pas de finesse, mais les manières du film épousent à ce point tous les conformismes standardisés d’un world cinema dénué de caractère propre que l’on ne peut s’empêcher d’en être un peu accablé.

  15. Le Monde
    par Noémie Luciani

    Malgré l'académisme de la mise en scène, la belle photographie de Josée Deshaies et des personnages féminins hauts en couleurs donnent à ce conte initiatique un certain relief.

  16. Libération
    par Julien Gester

    La peinture du déracinement, des caprices du climat déréglé ou des rapports hommes-femmes ne manque pas de finesse, mais les manières du film épousent à ce point tous les conformismes standardisés d’un world cinema dénué de caractère propre que l’on ne peut s’empêcher d’en être un peu accablé.

  17. par La rédaction de Nouvel Obs

Ce pourrait être manichéen, c’est sensible, délicat, émouvant. L’enfant (Rediat Amare) est étonnant.

  • Le Monde
    par Noémie Luciani

    Malgré l'académisme de la mise en scène, la belle photographie de Josée Deshaies et des personnages féminins hauts en couleurs donnent à ce conte initiatique un certain relief.

  • Critikat.com
    par Benoît Smith

    En fait d’implication de cinéaste, le film ne montre qu’un académisme désarmant : qu’il distille un peu d’humour convenu, aille chercher le chagrin ou prétende mettre en scène la vie de famille, l’ingéniosité enfantine, le travail, la violence, etc., il ne sait qu’affadir sa matière tout en faisant briller l’emballage.