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Inspirée par "L’Attrape-cœurs", cette errance nocturne (en noir et blanc) d’un jeune de 20 ans qui veut se payer un billet de train fait parfois songer au "Boy Meets Girl" de Leos Carax, mais déçoit par ses dialogues triviaux et sa fantaisie forcée.
Toutes les critiques de Quand je ne dors pas
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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C’est toute la force du projet que cette façon de faire monter une énergie poétique insoupçonnée en ne s’installant jamais dans des postures et en puisant dans une matière très concrète et actuelle, ainsi que dans le bouillonnement parfois désarmant de son comédien Aurélien Gabrielli.
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C’est toute la force du projet que cette façon de faire monter une énergie poétique insoupçonnée en ne s’installant jamais dans des postures et en puisant dans une matière très concrète et actuelle, ainsi que dans le bouillonnement parfois désarmant de son comédien Aurélien Gabrielli.
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"Quand je ne dors pas" est, à l’image de son personnage principal, un film en contraste avec la production cinématographique habituelle, aussi original que rafraîchissant.
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Quand je ne dors pas est, à l’image de son personnage principal, un film en contraste avec la production cinématographique habituelle, aussi original que rafraîchissant.
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(...) l’énergie, bien qu’on puisse trouver le propos simpliste, est communicative et enjolivée par le noir et blanc des images de la nuit parisienne. Avec une grande bienveillance, loin des clichés du thème, "Quand je ne dors pas" est un beau petit film.
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(...) l’énergie, bien qu’on puisse trouver le propos simpliste, est communicative et enjolivée par le noir et blanc des images de la nuit parisienne. Avec une grande bienveillance, loin des clichés du thème, Quand je ne dors pas est un beau petit film.
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Sans frime, sans effet et grâce à un acteur-personnage irrésistible, Tommy Weber fait une entrée tout en délicatesse dans le cinéma français. On attend la suite.
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Sans frime, sans effet et grâce à un acteur-personnage irrésistible, Tommy Weber fait une entrée tout en délicatesse dans le cinéma français. On attend la suite.
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Weber offre de belles trouvailles de mise en scène et la révélation d'un acteur : Aurélien Gabrieli.
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Un premier film sympa, gorgé de références.
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Un premier film sympa, gorgé de références.
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Tourné en noir et blanc dans les rues de Paris, tirant parti d’un casting convaincant, le film manifeste un désir spontané de cinéma que ne gêne pas sa production légère. Mais la poésie frelatée et sans consistance dont il fait montre en recroqueville considérablement l’imaginaire.
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Tourné en noir et blanc dans les rues de Paris, tirant parti d’un casting convaincant, le film manifeste un désir spontané de cinéma que ne gêne pas sa production légère. Mais la poésie frelatée et sans consistance dont il fait montre en recroqueville considérablement l’imaginaire.
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Weber offre de belles trouvailles de mise en scène et la révélation d'un acteur : Aurélien Gabrieli.