Toutes les critiques de Sangue del mio Sangue

Les critiques de Première

  1. Première
    par Damien Leblanc

    Au XVIIe siècle, un homme d’armes assiste, dans un couvent-prison, au procès d’une nonne accusée de sorcellerie. Quatre siècles plus tard, un inspecteur issu d’un ministère, joué par le même acteur, se rend sur les lieux désormais abandonnés et croise la route d’un comte aux allures de vampire. Assoiffé d’expérimentations, Marco Bellocchio invente une rêverie fantomatique qui superpose deux époques, pour déplorer le nouveau type de conformisme qu’imposent la modernité et la globalisation. Davantage que les personnages apathiques, c’est l’autoportrait en creux du cinéaste (dont la longévité artistique, de cinquante ans, lui a permis de dépasser les modes) qui fait naître quelques vibrations.

  2. Première
    par Damien Leblanc

    Au XVIIe siècle, un homme d’armes assiste, dans un couvent-prison, au procès d’une nonne accusée de sorcellerie. Quatre siècles plus tard, un inspecteur issu d’un ministère, joué par le même acteur, se rend sur les lieux désormais abandonnés et croise la route d’un comte aux allures de vampire. Assoiffé d’expérimentations, Marco Bellocchio invente une rêverie fantomatique qui superpose deux époques, pour déplorer le nouveau type de conformisme qu’imposent la modernité et la globalisation. Davantage que les personnages apathiques, c’est l’autoportrait en creux du cinéaste (dont la longévité artistique, de cinquante ans, lui a permis de dépasser les modes) qui fait naître quelques vibrations. 

Les critiques de la Presse

  1. StudioCiné Live
    par Thomas Baurez

    Fascinant.

  2. A voir à lire
    par Emma Martin

    La mise en scène est un peu tape-à-l’œil, la métaphore un peu fumeuse. Mais le film, presque drôle, quasi génial, laisse transparaître un Marco Bellocchio, à 75 ans, plus jeune que jamais.

  3. L'Express
    par Christophe Carrière

    Pas simple à suivre, mais comme toujours avec Marco Bellocchio, le film est bourré de tiroirs au contenu enrichissant et insolent.

  4. Les Inrocks
    par J.B. Morain

    (....) un hymne à la vie, d’un film sur la vieillesse aussi, beaucoup plus intelligent, drôle, libre et subtil que l’affreux "Youth" de Paolo Sorrentino.

  5. Le Monde
    par Mathieu Macheret

    Pour fêter ses 50 ans de carrière, le grand cinéaste italien Marco Bellocchio signe un film d’une bizarrerie et d’une irrégularité – mais on pourrait tout aussi bien dire d’une liberté d’inspiration – qui risquent d’en désarçonner plus d’un.

  6. A voir à lire
    par Emma Martin

    La mise en scène est un peu tape-à-l’œil, la métaphore un peu fumeuse. Mais le film, presque drôle, quasi génial, laisse transparaître un Marco Bellocchio, à 75 ans, plus jeune que jamais.

  7. StudioCiné Live
    par Thomas Baurez

    Fascinant.

  8. L'Express
    par Christophe Carrière

    Pas simple à suivre, mais comme toujours avec Marco Bellocchio, le film est bourré de tiroirs au contenu enrichissant et insolent.

  9. Les Inrocks
    par Jean-Baptiste Morain

    (....) un hymne à la vie, d’un film sur la vieillesse aussi, beaucoup plus intelligent, drôle, libre et subtil que l’affreux Youth de Paolo Sorrentino.

  10. Le Monde
    par Mathieu Macheret

    Pour fêter ses 50 ans de carrière, le grand cinéaste italien Marco Bellocchio signe un film d’une bizarrerie et d’une irrégularité – mais on pourrait tout aussi bien dire d’une liberté d’inspiration – qui risquent d’en désarçonner plus d’un. 

  11. Libération
    par Clément Ghys

    (...) le cinéaste italien pose un regard acerbe sur son pays, dans la veine des comédies des années 60.

  12. Le JDD
    par Alexis Campion

    Le lien entre les deux histoires?? Il est informulable sinon par la magie du cinéma, dont Marco Bellochio se sert ici en maître afin de revisiter des thèmes chers (identité, désir, engagement, fantasmes sadiques…). Et dire sa nostalgie.

  13. Le Figaro
    par Marie-Noëlle Tranchant

    Une belle curiosité artistique.

  14. Libération
    par Clément Ghys

    (...) le cinéaste italien pose un regard acerbe sur son pays, dans la veine des comédies des années 60.

  15. Le JDD
    par Alexis Campion

    Le lien entre les deux histoires?? Il est informulable sinon par la magie du cinéma, dont Marco Bellochio se sert ici en maître afin de revisiter des thèmes chers (identité, désir, engagement, fantasmes sadiques…). Et dire sa nostalgie.

  16. Le Figaro
    par Marie-Noëlle Tranchant

    Une belle curiosité artistique.

  17. Télérama
    par Frédéric Strauss

    De belles idées en surnombre aboutissent à un film souvent hermétique... Marco Bellochio semble s'enfermer dans ses pensées et retourner à l'époque, peu inspirée, de "La Sorcière" (1988).

  18. Télérama
    par Frédéric Strauss

    De belles idées en surnombre aboutissent à un film souvent hermétique... Marco Bellochio semble s'enfermer dans ses pensées et retourner à l'époque, peu inspirée, de La Sorcière (1988). 

  19. Critikat.com
    par Benoît Smith

    Mais qu’est-ce qui est donc passé par la tête du cinéaste italien pour livrer un film à ce point dévitalisé, à côté de la plaque, à la raison d’être si insignifiante, une ombre caricaturale de son cinéma ?

  20. Critikat.com
    par Benoît Smith

    Mais qu’est-ce qui est donc passé par la tête du cinéaste italien pour livrer un film à ce point dévitalisé, à côté de la plaque, à la raison d’être si insignifiante, une ombre caricaturale de son cinéma ?