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On se souvient que du temps de sa première grossesse en 2011, Beyoncé avait été accusée d’avoir eu recours à une mère porteuse, car son ventre n’était pas toujours aussi rond qu’il aurait dû l’être. La chanteuse avait dû se défendre à plusieurs reprises jusqu’à la naissance de Blue Ivy, sa petite fille née le 7 janvier 2012. Presque dix-huit mois plus tard, elle doit faire face à une autre rumeur : celle de sa deuxième grossesse.Voilà deux semaines que la Page Six du New York Post se pose la question, après la publication d’une photo de la chanteuse sur scène à Londres avec un peu de ventre. Neuf jours plus tard, un communiqué de son agent annonçant l’annulation d’un de ses concerts en Belgique – une première pour la chanteuse qui s’est excusée en personne sur sa page Facebook – mettait le feu aux poudres, d’autant que c’est le médecin de la star de 32 ans qui l’a arrêtée pour "déshydratation"et "épuisement", deux symptômes typiques du début de grossesse.Visiblement atteinte par ces rumeurs qui touchent son physique – effectivement changé depuis ses publicités dénudées pour Pepsi ou H&M, ainsi que ses couvertures de magazines en maillot de bain -, l’interprète de Grown Woman – son nouveau single d'abord interprété en live à Bercy et enfin disponible à l’écoute en intégralité depuis ce matin – a rédigé ce message le 18 mai sur Instagram, avant de finalement l’effacer : "Je ne peux empêcher les rumeurs et je ne peux pas vraiment changer l'état d'esprit des gens qui y croient. Tout ce que je peux faire, c'est m'asseoir là et rire de la petite vie de ces gens qui n'ont rien d'autre à faire que de parler de moi".Lundi, c’est son mari Jay-Z qui est intervenu pour défendre sa pauvre épouse, qui n’a pas été aidée par sa récente interview à ABC News où elle évoquait son désir d’être mère à nouveau. Le rappeur a répondu à un mail d’Ebro Darden, le directeur de la radio new-yorkaise Hot 97, qui le félicitait pour l’heureux événement dont tout le monde parlait. "Non, Beyoncé n'est pas enceinte, a-t-il écrit. C'est faux. Les sites d'informations sont pires que les blogs". De quoi clouer le bec aux mauvaises langues pendant quelques mois…