De 1908 à 1914, sous la direction de son frère Albert, il est la vedette masculine des adaptations entreprises par la SCAGL. Ses traits énergiques, sa stature lui assurent le succès dans des concentrés de Sardou ou de Hugo : Patrie (A. Capellani, 1913) ou Quatrevingt-Treize (id. ; RÉ 1914 ; 1920). Il suit son frère aux États-Unis, y interprète la Dame aux camélias (Camille, 1915) et Mimi (1916). À son retour, L'Herbier l'utilise encore dans le Carnaval des vérités (1920) ; mais, à partir de 1931, le cinéma l'oublie définitivement.