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On hésite un peu entre malaise et étonnement devant ce premier film de l’artiste suisse Emmanuelle Antille, l’échappée d’une fille mal dans sa peau avec sa mère doucement folle. Ce sera finalement le malaise, provoqué notamment par l’omniprésence à l’écran de la légendaire Hanna Schygulla, muse de Fassbinder, qui incarne cette mère atteinte d’une maladie sans nom. Elle est l’héroïne d’un road-movie bancal qui n’emprunte jamais vraiment aucune des pistes (la maladie, la relation mère-fille, la mémoire) qu’il esquisse.
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Cette échappée belle autour de la filiation brille surtout de la présence de la magnifique Hanna Schygulla.