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Alors qu’il est question de donner un statut juridique aux beaux-parents, Élie Chouraqui choisit de traiter la problématique très actuelle de la famille recomposée par le prisme de la comédie romantique, dédramatisant ainsi les inévitables souffrances ressenties par les enfants. D’où un film frais et léger, distrayant mais brouillon qui esquive sciemment toute « psychologisation » des personnages pour privilégier des scènes de comédie sans grands enjeux.
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Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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On aime le cinéma d'Elie Chouraqui, ses atmosphères de contes de fées, ses décors pastels, ses images où tout est joli, même et surtout quand il pleut. On adore le côté comédie musicale ouvertement inspiré par Jacques Demy.
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Il faudrait que tout ceci [scènes du film] fût enlevé avec beaucoup de brio pour faire passer tant de sucreries et d'invraisemblances. Mais pour retrouver l'équivalent des dialogues que l'on met dans la bouche des acteurs (particulièrement de Gérard Darmon, qui, dans son rôle d'ex-mari, répète au moins deux fois chacune de ses répliques) il faut se reporter à la série Voisin Voisine (la 5 de Berlusconi, circa 1981).