Toutes les critiques de Certifiée Halal

Les critiques de Première

  1. Première
    par Bernard Achour

    Bien sûr, il y a du "sens", la volonté de pointer la condition des femmes, le poids des traditions et la misère sexuelle dans les pays musulmans... Fallait-il pour autant emballer les mésaventures de cette jeune femme promise à un mariage forcé de manière aussi grotesque, didactique et approximativement filmée ? Avec ses allures de "Grande Vadrouille" dotée d’une BO de western, son festival de grimaces, ses quiproquos d’un autre âge et ses gags à faire passer Fabien Onteniente pour Blake Edwards, le résultat consterne plutôt que d’interpeller.

Les critiques de la Presse

  1. Rolling Stone
    par La rédaction de Rolling Stone

    Une comédie rafraîchissante réalisé par Mahmoud Zemmouri qui avait déjà tourné l’excellent Munich.

  2. Le Monde
    par Jacques Mandelbaum

    Si une désuétude générale entache, hélas, le film, il n’en faut pas moins saluer son courage et son à-propos.

  3. 20 Minutes
    par Caroline Vié

    Ce film burlesque et bon enfant offre un rôle en or au comique (Smaïn ndlr).

  4. Culture box by france Tv
    par Pierre-Yves Grenu

    "Certifiée halal" n'est pas exempt de longueurs, de gags répétitifs voire lourdingues, mais, globalement, il se dégage de l'ensemble un joli souffle de vie et d'optimisme, qui n'est pas sans rappeler l'ambiance des comédies italiennes des grandes années.

  5. A nous Paris
    par La rédaction d' A nous Paris

    Une zizanie qui multiplie les clichés, qui ne fait même que les enfiler, mais qui le fait avec une certaine bonhomie qui s’avère parfois sympathique.

  6. Télérama
    par Télérama Télérama

    Les personnages hauts en couleur de Mahmoud Zemmouri ne peuvent sauver cette comédie balourde sur le mariage forcé dans un village reculé du Maghreb

  7. StudioCiné Live
    par Laurent Djian

    Le cinéaste en rajoute tellement dans la caricature que son discours se retourne contre lui. Certifié ratage.

  8. Critikat.com
    par Benoît Smith

    Comment prendre au sérieux les prétentions d’un cinéaste à tourner en dérision le traitement des femmes comme des objets, quand lui-même traite ses personnages comme de grossières figurines tout juste bonnes à alimenter une machine à produire des gags piteux, des dialogues pittoresques et des vannes autosatisfaites ?