Toutes les critiques de La Loi De Murphy

Les critiques de Première

  1. Première
    par Mathieu Carratier

    (...) le film se regarde avec l’impression étrange d’avoir atterri dans une dimension parallèle où le temps se serait arrêté en 1999. Malgré le capital sympathie du casting, cette Loi... a un peu de mal à passer.

Les critiques de la Presse

  1. StudioCiné Live
    par Emmanuel Cirodde

    (...) si le réalisateur n'a pas ménagé sa peine, la richesse des ingrédients a tendance à rendre le film victime de sa générosité. Seule réserve pour une comédie qui reste à voir, ne serait-ce que pour sa belle énergie.

  2. Nouvel Obs
    par Xavier Leherpeur

    De l’ambition, le cinéaste en affiche dans son premier long, jouant dans une même main inégalement gagnante les cartes de l’humour burlesque, des codes détournés du film noir et d’une stylisation entre BD et cartoon. Mais lui manque encore les épaules pour soutenir cet édifice qui, à force d’être trop chargé, manque d’unité et d’équilibre.

  3. Les Inrocks
    par Léo Soesanto

    Comme arguments comiques, des tronches, beaucoup de postiches (ce n’est jamais bon signe), des transfuges de la télé d’aujourd’hui (Jonathan Lambert, Omar Sy), d’hier (l’acteur qui jouait Huggy-les-bons-tuyaux dans Starsky et Hutch !) et beaucoup de gesticulations dans la droite lignée du Zidi eighties. Entre cela et le plus friqué Cinéman, et pour citer Max Pecas, on n’est pas sorti de l’auberge au rayon comique.

  4. A voir à lire
    par Frédéric Mignard

    Le problème avec La loi de Murphy, c’est que cette « loi de l’emmerdement » devient très vite un prétexte cinématographique a bien du cabotinage et beaucoup d’hystérie. Le montage a beau jouer à fond la référence nerveuse et rythmée aux œuvres de Guy Ritchie, rien n’en ressort de bien positif. Tout le monde s’agite et s’excite beaucoup autour de gags inlassablement médiocres et de dialogues tous aussi fumeux.

  5. Le Monde
    par Thomas Sotinel

    Le sarcasme est facile, mais après avoir traversé cet éboulement de gags disparates (dont la plupart ont beaucoup servi), on ne peut qu'être convaincu de l'emprise de la loi de Murphy sur le cinéma de genre français.