Comment je suis devenu super-héros
Capture d'écran YouTube / Warner Bros. France

Quand une drogue conférant des superpouvoirs circule dans Paris, deux policiers font tout leur possible pour éviter la catastrophe.

"Les héros, ça existe pas. Y a que des loosers." La voix de Swann Arlaud, récemment vu dans Perdrix, met de suite les spectateurs dans l’ambiance. L’acteur donne la réplique à Benoît Poelvoorde et Leïla Bekhti du Grand BainPio Marmaï que l’on a vu dernièrement dans Je Promets d’être sage, et Vimala Pons de Vincent n’a pas d’écailles, un autre film de super-héros bien français. Aux commandes, c’est Douglas Attal, acteur dans La Prochaine fois je viserai le cœur qui tient le stylo et la caméra pour adapter le roman éponyme de Gérald Bronner.

Pour Robert Pattinson, Batman n’est pas un "vrai héros"

De quoi ça parle, un film de super-héros français ? Dans le Paris de 2020, les surhommes sont devenus banalisés et s’intègrent parfaitement à la société. Mais une drogue circulant dans la ville pourrait bien rompre cet équilibre, conférant des pouvoirs à ceux qui n’en ont pas. Les incidents se multiplient, forçant deux lieutenants de police, Moreau et Schaltzmann, à enquêter sur l’affaire. Pour parvenir à leurs fins et démanteler le réseau, ils feront appel à deux super-héros qui se sont rangés, Monte Carlo et Callista. C’était sans compter sur le passé de Moreau qui ressurgit, compliquant davantage l’enquête.

Le projet avait déjà été annoncé au Comic Con Paris de 2015 : cette fois, le long-métrage a trouvé son producteur avec la Warner Bros. et le tournage est terminé. Pour découvrir les justiciers (et vilains) frenchies de Comment je suis devenu super-héros, rendez-vous dans les salles le 14 octobre 2020. Cocorico !