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Sur un sujet déjà très émouvant – comment une famille réagit à la maladie d’un enfant et à sa mort annoncée –, cette adaptation d’un roman à succès de Jodi Picoult ne lésine pas sur les violons et les trémolos. Pris en otage, le spectateur abasourdi est condamné à pleurer. Le tiers du quart aurait suffi.
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Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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S'appuyant d'autre part sur de nombreux passages musicaux, la réalisation donne fréquemment libre cours à des phases visant clairement l'explosion émotionnelle, laissant agir images et chansons bien choisies contre toute tentative d'intellectualisation. Il n'en fallait pas moins pour donner leur juste place à des thèmes aussi forts que l'amour filial et fraternel. C'est malin, efficace, et très habilement cinématographique.
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Une histoire forte (inspirée du best-seller de Jodi Picoult), d'excellents comédiens (Cameron Diaz et la jeune star de Little miss sunshine), mais des ficelles souvent grossières./ Après Alpha Dog et N'oublie jamais, Nick Cassavetes, le fils de John, sombre dans le mélo. Bien peu de cœurs y résisteront.
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L’académie des Oscars va adorer. Une idée originale, des mômes subclaquants, de bons acteurs, que demander de plus ? Euh, des ficelles moins grosses et une mise en scène plus viscérale ?
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A l'outrance des situations, Nick Cassavetes répond par une mièvrerie constante. La lumière est dorée, les gens sont beaux, même la pauvre malade et son petit ami également cancéreux (à qui les dialoguistes font échoir cette réplique "sans le cancer, on ne se serait jamais rencontré"), les affrontements entre membres de la famille finissent toujours par des embrassades. Seule Cameron Diaz, sans doute soucieuse de se défaire de son image de chic fille, charge son personnage de mère cruelle, soucieuse de la seule santé de son aînée, jusqu'à en faire une espèce de monstre, un moment incongru dans cet univers de bons sentiments.
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Le fils Cassavetes gâche un beau sujet à coups de violons larmoyants.
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Nick Cassavetes («N'oublie jamais») adapte le best-seller de la romancière américaine Jodi Picoult, le traite «à l'américaine» - chacun, ici au-delà des apparences, est au fond un héros -, fignole le pathétique rentable et prend sans vergogne le public en otage.
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Un sujet de société typiquement pour "Les dossiers de l'écran", servi avec une sauce mélo particulièrement sirupeuse. On ne fait pas seulement pleurer Margot : on la fait réfléchir.
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Sur le thème poussé à l'extrême de l'enfant-médicament, voici un énorme mélo qui plaira aux amateurs du genre ; les autres, passez votre chemin.