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Si Pierre Jolivet s’amuse sans complexe avec les clichés du genre, il les repeint aux couleurs de son humour vif et imprévisible. Chaque fois que la bluette menace, une fantaisie scénaristique remet la comédie à l’honneur. De la belle mécanique d’horloger dotée d’un tempo allegro. (…) Bref, « La » comédie de ce début d’année.
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Après "Quatre étoiles"" et "Hors de prix", le film de Pierre Jolivet apporte une double confirmation: la comédie romantique n'est plus une spécialité anglo-saxonne. Et Vincent Lindon est décidément magnétique.
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Le film de Pierre Jolivet est de ceux qui allient talent, légèreté, humour et dont on sort avec un large sourire. Pour une fois, Pierre Jolivet a mis de côté les préoccupations sociales qui courent au long de ses films (...) pour signer une comédie pure et jubilatoire.
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Vincent Lindon et Sandrine Bonnaire nous la jouent comédie à l’américaine dans ce « un homme et une femme » tout simple mais bien ficelé, le dernier film de Pierre Jolivet, très enlevé, très rythmé et aux dialogues percutants. C’est romantique, drôle et fin. En deus ex machina pas toujours habile, François Berléand fait une composition savoureuse.
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Ici, c’est Pierre Jolivet qui est derrière la caméra : plutôt que de chercher le rire efficace, il nous fait passer par d’étonnantes sautes d’humeur, de la déprime spirituelle à la folie douce.
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Dans cet univers viril, Sandrine Bonnaire trouve son propre tempo au fil de scènes rapides et très dialoguées où elle impose son charme. En perverse Québécoise, Liane Foly apporte sa fantaisie créatrice. Aimable miroir de nos petits travers, cette comédie romantico-amusante est joliment bichonnée.
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Divertissement garanti avec cette comédie romantique dans laquelle Pierre Jolivet glisse un ingrédient inhabituel dans le schéma traditionnel de la rencontre amoureuse : la paranoïa.
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Je crois que je n’ai pas aimé le film. Pourtant François Berléand y est absolument génial dans son rôle de privé complètement givré. Reste que Sandrine Bonnaire joue faux et que le personnage de Vincent Lindon sonne creux. À aucun moment, l’histoire qui se noue entre ces deux-là ne semble crédible. On croit encore moins à tous les stratagèmes mis en œuvre par ce riche industriel pour garder sa céramiste. Souvent abracadabrant, souvent trop lent, le scénario passe à côté de la plaque et on ressort anesthésié.
Je Crois Que Je L'Aime