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1815. Le jeune Jacquou, martyrisé par le sort, perd mère et père. Quelques années plus tard, il se rebelle contre le vilain Comte de Nansac, cause de tous ses malheurs. Que les nostalgiques du feuilleton télé culte des sixties ne se réjouissent pas trop vite. Pompier, grandiloquent, interminable, le film de Laurent Boutonnat enchaîne les scènes édifiantes et les pitreries pyrotechniques en oubliant au passage son histoire et ses personnages. Les comédiens venus de partout (Croze, Gourmet, Dupontel, Ulliel etc…) semblent se demander ce qu’ils foutent là. On les comprend.
Toutes les critiques de Jacquou Le Croquant
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Un grand film d’aventures, au souffle épique, romanesque et magique.
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Bercé par sa propre création musicale (redondante au possible), le cinéaste s’égare entre les paysages façon toiles de Millet et les intérieurs à la Rembrandt. Il en oublie l’aspect épique d’une saga qui s’étire sur 2h25 d’un récit esthétisant, mal rythmé, pauvre en action et servi par des comédiens diversement inspirés.