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Comme ses parents, Hanna a un drôle de syndrome : elle ne sait pas dire non. Elle en vient même à se prostituer par "gentillesse", tandis que son frère, lassé des moqueries sur ses convictions religieuses, se radicalise. De ce postulat aussi drôle qu’intrigant, la coscénariste du "Nom des gens" et d’"Hippocrate" tire une comédie atypique, vivante, bordélique, bourrée de répliques bien senties et de situations décalées. Prolongement de "J’aurais pu être une pute", son court métrage avec, déjà, la formidable Vimala Pons, "Je suis à vous tout de suite" pose un regard plein d’indulgence sur la société française, ce qui, par les temps qui courent, ne se refuse pas.
Toutes les critiques de Je suis à vous tout de suite
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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(...) cette comédie ne lésine pas sur les ingrédients et flirte constamment avec la dispersion. Si la greffe prend, c'est grâce à Vimala Pons, actrice pétillante façon fines bulles.
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(...) cette comédie ne lésine pas sur les ingrédients et flirte constamment avec la dispersion. Si la greffe prend, c'est grâce à Vimala Pons, actrice pétillante façon fines bulles.
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Drôle, intelligente et débordante d'humanité, cette comédie de mœurs n'hésite pas à étaler son humour sur un fond de tragédie.
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Drôle, intelligente et débordante d'humanité, cette comédie de mœurs n'hésite pas à étaler son humour sur un fond de tragédie.
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La mise en scène de Kasmi pousse à l'extrême l'absurdité de chaque situation, et fait des étincelles. S'y ajoute une réflexion sur la deuxième génération issue de l'immigration.
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La mise en scène de Kasmi pousse à l'extrême l'absurdité de chaque situation, et fait des étincelles. S'y ajoute une réflexion sur la duxième génération issue de l'immigration.
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(...) un film conçu pour s’aérer la tête intelligemment tout en offrant une séance de gymnastique à ses zygomatiques.
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(...) un film conçu pour s’aérer la tête intelligemment tout en offrant une séance de gymnastique à ses zygomatiques.
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Pour son premier long, Baya Kasmi a réussi la légèreté. Et c’est réconfortant.
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Après avoir coécrit "Le Nom des gens", de Michel Leclerc, Baya Kasmi confirme son ton bien à elle, léger et gonflé, dans cette comédie dramatique pleine de constats vivifiants sur une société minée par l'égoïsme et le communautarisme.
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Après avoir coécrit Le Nom des gens, de Michel Leclerc, Baya Kasmi confirme son ton bien à elle, léger et gonflé, dans cette comédie dramatique pleine de constats vivifiants sur une société minée par l'égoïsme et le communautarisme.
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A l’image de son héroïne, cette comédie qui n’est légère qu’en apparence trébuche plus d’une fois en chemin. Mais le portrait de femme qu’elle propose, porté par la belle Vimala Pons dans le rôle principal, est aussi original que touchant.
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L’identité, la croyance, le sexe, l’amour… tout y passe avec l’envie de tout dire au risque, – c’est parfois le cas – d’en dire trop. Mais on aime bien cette comédie drôle, conciliante et farfelue qui met le doigt sur des problèmes qui nous concernent.
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La caricature n'est pas loin, mais la bonne humeur l'emporte. (...) les situations invraisemblables se succèdent avec légèreté et couleur.
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L’identité, la croyance, le sexe, l’amour… tout y passe avec l’envie de tout dire au risque, – c’est parfois le cas – d’en dire trop. Mais on aime bien cette comédie drôle, conciliante et farfelue qui met le doigt sur des problèmes qui nous concernent. Avec en plus une bonne dose de tendresse… bordel!
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A l’image de son héroïne, cette comédie qui n’est légère qu’en apparence trébuche plus d’une fois en chemin. Mais le portrait de femme qu’elle propose, porté par la belle Vimala Pons dans le rôle principal, est aussi original que touchant.
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La caricature n'est pas loin, mais la bonne humeur l'emporte. (...) les situations invraisemblables se succèdent avec légèreté et couleur.
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Jouant de l’acrimonie entre un frère dévot et une sœur libérée, cette comédie interconfessionnelle à la mise en scène pas toujours à la hauteur de ses ambitions pâtit aussi d’une campagne de com douteuse : "Rien de tel que la religion pour fâcher une famille", lit-on sur les affiches.
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Jouant de l’acrimonie entre un frère dévot et une sœur libérée, cette comédie interconfessionnelle à la mise en scène pas toujours à la hauteur de ses ambitions pâtit aussi d’une campagne de com douteuse : Rien de tel que la religion pour fâcher une famille, lit-on sur les affiches.
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Pour son premier long, Baya Kasmi a réussi la légèreté. Et c’est réconfortant.
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Les gags tombent à plat, et la gêne l'emporte quand elle greffe à ses diverses sous-intrigues une histoire de pédophilie. (...) Une comédie qu'on oubliera bien vite.
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Les gags tombent à plat, et la gêne l'emporte quand elle greffe à ses diverses sous-intrigues une histoire de pédophilie. (...) Une comédie qu'on oubliera bien vite.
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On regrettera hélas que le scénario s’embarrasse de sous-histoires inutiles qui ruinent considérablement le tableau. In fine, le spectateur se noie progressivement dans un flot ininterrompu d’informations. De quoi l’éloigner et/ou l’assommer.
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On regrettera hélas que le scénario s’embarrasse de sous-histoires inutiles qui ruinent considérablement le tableau. In fine, le spectateur se noie progressivement dans un flot ininterrompu d’informations. De quoi l’éloigner et/ou l’assommer.