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Un des meilleurs films de l’année.
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« Les Brasiers de la colère » rappelle par son atmosphère âpre et ses personnages authentiquement américains, le fantastique « Voyage au bout de l’enfer » de Michael Cimino. Il fait aussi penser aux chansons de Bruce Springsteen vantant le courage ordinaire de la classe ouvrière.
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Véritable coup de cœur pour cette plongée intense et saisissante au cœur d'un rêve américain déclinant, avec pour scénariste et réalisateur, le prometteur Scott Cooper et Leonardo DiCaprio à la production... Après un succès fulgurant avec son premier film Crazy Heart, Scott Cooper récidive avec brio. Un thriller réaliste avec des thèmes universels tel l'espoir et la famille.
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La veine social de ce drame bouleversant, loin d'être un effet de mode, est sincère et brûlante. Beau casting de gueules et de talents, sans esbroufe.
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Christian Bale est éblouissant dans Les Brasiers de la colère de Scott Cooper. (...) Un thriller au suspense dopé à l’adrénaline.
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On sait déjà où le réalisateur va nous emmener mais, grâce aux acteurs, le voyage en vaut la peine.
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Un film sinistre accompagné d’un suspense solide, rien de plus.
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Un film réussi, scindé en 2, une partie excellente, l’autre plutôt mordante.
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Voici une classique descente aux enfers sur un terrain bien poisseux, avec des rôles de poissards comme les affectionnent Christian Bale et Casey Affleck. Les Brasiers de la colère n’y va pas avec le dos de la cuillère, certes, mais suinte la sueur et le sang, et colle à la peau de ce casting impressionnant allant de Woody Harrelson en truand ultra-violent à Forest Whitaker en flic conciliant.
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Scott Cooper offre à un Christian Bale exceptionnel son rôle le plus poignant.
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Deux frères : l'un travaille dans une ville industrielle en crise. L'autre participe, pour survivre, à des combats à main nue. Un jour, il disparaît... Un film sur la solidité du clan familial et la violence omniprésente en Amérique. Inquiétant...
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Ce film est doté d’une force austère indéniable mais la réalisation est profondément basique et mysogine, d’autant plus qu’il est très violent.
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Sur fond de misère sociale dans une ville minière sinistrée, Christian Bale nous prouve qu'il fait très bien l'accent péquenaud.
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Si l’intrigue est plutôt pessimiste et galvaudée, le film est sauvé par la qualité des performances des personnages principaux.
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le film n’a rien de ridicule, mais déroule sa partition comme un exercice de style vaguement mécanique où il s’agit d’appuyer à intervalles réguliers sur le bouton «émotion» pour faire tenir l’ensemble debout.
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Des moments agréables mais ce n’est pas un bon film pour autant.
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Si le propos est parfois trop appuyé et attendu, il émane de l'ensemble une force et une honnêteté indéniables.
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Assez manichéen d'abord dans son portrait de Russell (Christian Bale), le film prend un virage cynique trop prévisible pour être déconcertant, mais dont l'absolue noirceur interpelle.
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Cette chronique de l'Amérique profonde met à nu des personnages qui se débattent contre l'adversité et la fatalité. Sa vision, réaliste, crue, impitoyable, permet à ses comédiens, formidables gueules cassées, de changer de registre.
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Les interprètes sont tous impeccables. Mais si le film est correctement exécuté, il n'a rien d'inédit à nous offrir.
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Scott Cooper parvient à trouver parfois l'équilibre entre pamphlet social et critique acerbe des fondations de la société américaine. Sa vision reste cependant ambiguë.
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De bons acteurs plutôt méritants d’accepter de jouer dans un film au scénario médiocre.
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Un film que nous sommes obligés de prendre au sérieux puisqu’il se prend lui-même très au sérieux.
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Le deuxième film de l’acteur-réalisateur Scott Cooper rêve de greffer l’ampleur romanesque de James Gray à une radioscopie de la crise américaine. Raté : sa tentative ressemble davantage à un pénible et sentencieux décalque rural de l’affreux Cogan, la mort en douce.
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Le propos sociomélo-pathos du réliasateur Scott Cooper n'a rien d'original et son ambition vire très vite à la prétention.
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Que choisir entre la justice légale et l’autodéfense ? A cette question, qui n’en finit plus d’obséder le cinéma américain, Scott Cooper préfère ne surtout pas répondre, entretenant une fausse confusion morale qui lui permet d’exploiter les conventions du vigilante movie jusqu’à un final ultra-complaisant.
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Un drame étrangement mené et prévisible.
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Porté par de nombreuses célébrités, ce drame social sur fond d’Amérique en crise vire au polar glauque et sans intérêt.
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Scott Cooper montre que s'il a un petit talent de metteur en scène, il n'est franchement pas un scénariste de génie.
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Un film profondément académique, habilement recouvert par les signes obligés du temps et un froncement de sourcils permanent. Le récit suit exactement la même pente dépressive voire tragique, et le scénario veut tout épingler.
Les Brasiers de la Colère