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Le clip choc du duo électro-rock français The Shoes, dans lequel Jake Gyllenhaal joue un serial killer au masque d’escrimeur, c’était lui. Daniel Wolfe (aidé de son frère Matthew) enchaîne, avec ce premier film, sur la fuite d’un jeune couple anglo-pakistanais poursuivi par des tueurs à gages dans les paysages brumeux du West Yorkshire, et qui va tout faire pour sauver sa vie. Personnages croqués en quelques plans minimalistes, course-poursuite et violence graphique. Un pur film de cavale tiré au cordeau dans lequel l’ex-clippeur injecte des shoots de couleurs flashs et de musique pop. Malgré son final complaisant, voilà un séduisant thriller anglais.
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Le clip choc du duo électro-rock français The Shoes, dans lequel Jake Gyllenhaal joue un serial killer au masque d’escrimeur, c’était lui. Daniel Wolfe (aidé de son frère Matthew) enchaîne, avec ce premier film, sur la fuite d’un jeune couple anglo-pakistanais poursuivi par des tueurs à gages dans les paysages brumeux du West Yorkshire, et qui va tout faire pour sauver sa vie. Personnages croqués en quelques plans minimalistes, course-poursuite et violence graphique. Un pur film de cavale tiré au cordeau dans lequel l’ex-clippeur injecte des shoots de couleurs flashs et de musique pop. Malgré son final complaisant, voilà un séduisant thriller anglais.
Toutes les critiques de Catch me Daddy
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Avec un sens du cadrage et des ambiances spectrales qui s’immiscent toujours en filigrane pour donner aux images brutes l’aspect puissant d’un conte païen, "Catch me daddy" brûle de tous ses feux, ceux d’une misère incommensurable (...)
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Avec un sens du cadrage et des ambiances spectrales qui s’immiscent toujours en filigrane pour donner aux images brutes l’aspect puissant d’un conte païen, Catch me daddy brûle de tous ses feux, ceux d’une misère incommensurable (...)
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Avec justesse, le film joue sur les non-dits et déploie des zones d’ombre inquiétantes, éclairées ça et là par quelques lueurs.
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De gros plans (un peu systématiques) en gros sons, on voit la vie de Laila, jeune femme qui aime danser et faire la fête, basculer en une nuit. La course poursuite avec ses pourchasseurs se transforme dans un road movie sanglant qui prend le temps de s'attarder sur les paysages.
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Avec justesse, le film joue sur les non-dits et déploie des zones d’ombre inquiétantes, éclairées ça et là par quelques lueurs.
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De gros plans (un peu systématiques) en gros sons, on voit la vie de Laila, jeune femme qui aime danser et faire la fête, basculer en une nuit. La course poursuite avec ses pourchasseurs se transforme dans un road movie sanglant qui prend le temps de s'attarder sur les paysages.
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CATCH ME DADDY est une vraie proposition de cinéma qui ne révolutionne pas le socioréalisme britannique, certes, mais qui est tout en force. Ce qui signifie aussi qu’il distribue son énergie de manière parfois erratique et manque singulièrement de sophistication dans son scénario – si le postulat de départ est original, l’histoire se déroule sans grande surprise – même s’il tente de pallier cette faiblesse par une réelle complexité psychologique.
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Tant qu'ils s'en tiennent aux péripéties habituelles d'un polar spectaculaire, au rythme aussi dopé que les personnages (car ils en consomment, de la drogue !), tout roule. Le dénouement, en revanche, entre opéra à la Coppola (surjoué) et suspense à la Tarantino (manqué), déçoit.
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On veut bien courir avec eux, mais au bout d'un moment, on fait comme le film, on s'essouffle.
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Un parti pris de lenteur permet au réalisateur, tout en nourrissant un sentiment de fatalité, de développer un univers visuel mi-poétique mi-prosaïque très singulier.
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Curieux objet, imparfait mais attachant (...)
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Tant qu'ils s'en tiennent aux péripéties habituelles d'un polar spectaculaire, au rythme aussi dopé que les personnages (car ils en consomment, de la drogue !), tout roule. Le dénouement, en revanche, entre opéra à la Coppola (surjoué) et suspense à la Tarantino (manqué), déçoit.
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On veut bien courir avec eux, mais au bout d'un moment, on fait comme le film, on s'essouffle.
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Un parti pris de lenteur permet au réalisateur, tout en nourrissant un sentiment de fatalité, de développer un univers visuel mi-poétique mi-prosaïque très singulier.
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Curieux objet, imparfait mais attachant (...)
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Daniel Wolfe présente ici son premier film. Catch Me Daddy . Autant le dire d’entrée de jeu, le réalisateur ne convainc pas en livrant un film plat et sans grand intérêt.