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Derrière les murs se présente comme le premier film fantastique français en 3D. De quoi flipper ? Oui, mais pas pour les bonnes raisons. Intimidés par leurs modèles (Les Autres, L’Orphelinat), les réalisateurs se focalisent sur le défi technique au détriment de la peur. Résultat : c’est aussi inoffensif qu’un téléfilm France 3 Auvergne. Dommage pour Laetitia Casta, la seule du casting à y croire.
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Derrière les murs se présente comme le premier film fantastique français en 3D. De quoi flipper ? Oui, mais pas pour les bonnes raisons. Intimidés par leurs modèles (Les Autres, L’Orphelinat), les réalisateurs se focalisent sur le défi technique au détriment de la peur. Résultat : c’est aussi inoffensif qu’un téléfilm France 3 Auvergne. Dommage pour Laetitia Casta, la seule du casting à y croire.
Toutes les critiques de Derrière les murs
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Un duplicata français de L’orphelinat. Un peu longuet, mais finalement captivant grâce au jeu incarné de Laetitia Casta.
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Un duplicata français de L’orphelinat. Un peu longuet, mais finalement captivant grâce au jeu incarné de Laetitia Casta.
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Passée la curiosité de découvrir le-premier-film-français-entièrement-tourné-en-3D, l’effet gadget d’un relief plutôt original (des perspectives quotidiennes en lieu et place de l’habituelle pyrotechnie à base d’objets jaillissants) cède vite la place à la consternation. Romancière en panne d’inspiration recluse dans une bâtisse hantée par des souris et des gamines fantomatiques, Laetitia Casta y mime la terreur sans la moindre conviction, sur fond de mise en scène façon « Louis la brocante » et de scénario aussi stérile que son héroïne. Soit largement de quoi nous ramener très vite à notre condition de spectateur torturé par le poids et l’inconfort de ces satanées lunettes.
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Passée la curiosité de découvrir le-premier-film-français-entièrement-tourné-en-3D, l’effet gadget d’un relief plutôt original (des perspectives quotidiennes en lieu et place de l’habituelle pyrotechnie à base d’objets jaillissants) cède vite la place à la consternation. Romancière en panne d’inspiration recluse dans une bâtisse hantée par des souris et des gamines fantomatiques, Laetitia Casta y mime la terreur sans la moindre conviction, sur fond de mise en scène façon « Louis la brocante » et de scénario aussi stérile que son héroïne. Soit largement de quoi nous ramener très vite à notre condition de spectateur torturé par le poids et l’inconfort de ces satanées lunettes.
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L’ambition d’un récit à la Maupassant bifurquant vers Saint-Ange ou Les Autres reste à l’état théorique.
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L’ambition d’un récit à la Maupassant bifurquant vers Saint-Ange ou Les Autres reste à l’état théorique.