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Sur un mode extrêmement léger mais très décomplexé et progressiste, il est question ici de sujets sérieux comme l’homoparentalité, l’homophobie, la famille… Réalisée un peu platement mais avec efficacité, cette comédie culinaire qui ne se prend jamais au sérieux se déguste sans déplaisir.
Toutes les critiques de A la carte
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Le problème des comédies espagnoles, et celle-ci n'échappe pas à la règle, malheureusement, c'est qu'elles sont... espagnoles ! A savoir que tous les acteurs gesticulent sans arrêt et parlent à un débit délirant, en hurlant presque à la limite de l'hystérie, comme si chaque spectateur potentiel était sourd (...). Ceci étant, côté quiproquos et retournements de situation, ils se posent là, les bouffeurs de jambon ibérique ; et pas qu'un peu ! (... ça se regarde sans réel déplaisir. Mais sans grand enthousiasme non plus (...).
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Sous ces audaces gastronomiques et érotiques, A la carte est un vaudeville bien conventionnel. (...) Les quiproquos gros comme des jambons pata negra et les répliques aussi prévisibles que l'addition à la fin d'un repas s'accumulent gentiment, sans que l'on en veuille particulièrement aux scénaristes (ils sont une demi-douzaine) ou au réalisateur qui fait ses débuts au cinéma après une carrière à la télévision (tiens, on n'aurait jamais deviné).
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Malgré de bonnes répliques, cette comédie manque de saveurs et de fraîcheur.
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Cela ne dépasse jamais le niveau d’une vieille farce boulevardière, d’une lourdeur à la limite du supportable (je n’ai pas tout vu). De quoi regretter les grands moments de la comédie italienne (et en l’occurrence le sketch des cuisiniers homos des Nouveaux Monstres), où la folie côtoyait constamment la noirceur.