Joker : une fin alternative aurait pu impacter le destin de Bruce Wayne

D’après le réalisateur Kevin Smith, Joker aurait pu être responsable du meurtre des Wayne.

Joker aura définitivement fait parler de lui jusqu’au bout. Après avoir remporté le Lion d’or de la Mostra de Venise, s’être hissé dans la cour des grands en passant le milliard de dollars au box-office, s’être retrouvé dans la shortlist des Oscars et avoir eu ses nominations aux Golden Globes, le thriller de Todd Phillips continue d’alimenter les discussions. Et cette fois-ci, il est question de sa relation avec son meilleur ennemi de l’univers DC : le Batman.

Sauf que cette relation aurait pu ne jamais exister. En effet, Kevin Smith (Red State) a récemment parlé dans le podcast Fatman Beyond sur YouTube d’une fin alternative, dont l’issue se révèle plutôt sanglante pour la famille Wayne. "À l’origine, la fin dans l’hôpital était différente," assure ainsi le réalisateur, avant de reprendre : "Arthur Fleck est à l’hôpital en train de rire, et la psy lui demande ce qu’il a. Alors il dit "je pensais à un truc drôle." Eh bien, on devait ensuite être entraîné dans un flash-back sur la mort de Thomas et Martha Wayne. Et c’est lui qui les tuait. Et alors que le Joker s’en allait, Bruce pleurait et criait. Alors Arthur se retournait, le visait, tirait, et c’était le générique."

Le Joker interprété par Joaquin Phoenix aurait donc pu venir à bout de son seul véritable ennemi… avant même qu’il devienne Batman. Si certains fans pourraient s’étonner d’apprendre que le vilain puisse exister sans la présence du justicier, il faut néanmoins prendre en compte que l’information n’a pas encore été confirmée ni démentie par Todd Phillips, et le flash-back ne figure pas non plus dans la version finale du scénario dévoilée cette semaine. Kevin Smith lui-même précise ne pas être certain de ce qu’il avance : "Peut-être que c’est complètement faux, mais j’espère vraiment que c’est vrai."