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Pour renvoyer sans cesse aux tourments de René, Alain Raoust, réalisateur rare, a tenu à jouer sur les contrastes. Autant d'oppositions accentuent encore la détresse qui hante le personnage de René, très touchant. Un mal-être finement raconté, donc, même si la peinture des états d'âme de chacun se traduit parfois par des longueurs.
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Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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On n'ira peut-être pas où il voudra quand il voudra mais, au bout de cette histoire, c'est sûr, on le suivra.
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Le cinéaste s'est adjoint la participation des montagnes de son enfance, bordant la vallée du Verdon, qui prêtent toute leur âpreté minérale à ce beau et fort drame romanesque.