Toutes les critiques de Une vie tranquille

Les critiques de Première

  1. Première
    par Thomas Agnelli

    Non sans talent, le réalisateur décline sagement les conventions du polar (...). L'impérial Toni Servillo apporte ce qu'il faut d'ambiguité et d'humanité à son personnage (...). Le film lui doit beaucoup.

Les critiques de la Presse

  1. Le Monde
    par Thomas Sotinel

    Réalisateur et interprètes d'Une vie tranquille s'efforcent délibérément de parvenir à cette dimension qui met en jeu le sens de l'existence, et n'y parviennent pas tout à fait, faute de nuance, d'invention psychologique ou dramatique. Ce n'est pas très grave : le film reste un thriller parfaitement fonctionnel, qui induit tension et soulagement, emmené par un interprète qui ne s'économise jamais.

  2. Le Figaro
    par Eric Neuhoff

    Une tragédie intime se déroule dans une lumière sombre de sous-bois, sur des autoroutes la nuit, dans des chambres d'hôtels anonymes. Cela donne un film glacé, implacable.

  3. Nouvel Obs
    par François Forestier

    Le film de Claudio Cupellini est un polar italien de la meilleur veine : celle qui pioche dans le passé récent, dans cette histoire sordide où règne la Camorra, dans cette société où la misère du Sud engendre les crimes du Nord.

  4. L'Express
    par Julien Welter

    La tension ne monte pas à mesure que le mystère s’épaissit mais à mesure que les liens du sang ressurgissent inexorablement, malgré l’impératif du secret et le danger. Le récit débouche alors sur un drame familial noir superbement interprété par Toni Servillo.

  5. StudioCiné Live
    par Thierry Chèze

    Si la mise en scène reste basique, cette variation sur les rapports père-fils séduit par la sobriété de son récit dénué de tout affect et la description fine de cette relation ambiguë entre ces deux hommes

  6. Télérama
    par Pierre Murat

    Ce petit film soigné, intense par intermittence, mais un rien trop sage pour convaincre.

  7. A voir à lire
    par Jean-Patrick Géraud

    Trop fidèle aux attentes du genre, ce drame respectable ménage un peu trop notre sang froid.

  8. Nouvel Obs
    par Jean-Philippe Guerand

    Bourré de clichés, le film pèche par le manichéisme de sa confrontation entre des Italiens sanguins et volubiles et des Allemands discrets et disciplinés.