-
Une étrange tension naît du contraste entre cette énergie bouillonnante, révolutionnaire, qui gagne l'esprit du spectateur, et la manière dont le personnage l'évoque, d'une voix suave, avec des mots très doux, dans une lumière tamisée qui évoque celle des tableaux d'Edward Hopper. Un travail sur la bande son, qui se désynchronise par moment des lèvres du personnage ajoute encore à ce cette étrange impression de fluidité qui donne l'impression que le monde dont vient René O. est un Atlantide englouti pour l'éternité.